Si le rapport préconise des changements dans la gestion de la NSA, les experts ne vont pas aussi loin que le souhaitaient les libéraux. Ils expliquent en préambule que la sécurité des Etats-Unis reste la priorité, dans un monde où la menace terroriste est réelle.
Cette sacro-sainte sécurité doit toutefois être assurée en respectant le droit à la vie privée des citoyens. L’utilisation des données doit passer par la justice écrivent les experts, et les Etats-Unis doivent s’interdire tout acte qui sortirait de la légalité comme l’espionnage industriel.
Déontologie de la surveillance
Cela peut sembler évident, mais les rapporteurs consacrent un chapitre à ce que l’on pourrait appeler la déontologie de la surveillance.
Concernant d’éventuelles écoutes de leaders étrangers, pas de préconisation définitive, elles peuvent se justifier si la sécurité nationale est en jeu, le rapport propose un travail de concertation avec les alliés des Etats-Unis afin d’établir un code de conduite commun.
Quant au directeur de la NSA, les experts estiment que Barack Obama serait bien inspiré de nommer un civil.
Source : Rfi.fr
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