Le secrétaire permanent de Rewmi a été placé sous mandat de dépôt par le Doyen des juges, pour trafic international de drogue, association de malfaiteurs, importation de produits prohibés, en février dernier. Parti récupérer un colis provenant d’Ethiopie, Samba Thioub a été arrêté par les douaniers puis confié aux policiers de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite de Stupéfiants (OCRTIS). Le colis intercepté par la Douane contenait 18 blocs de 2 kg et 2 blocs de 2,3 kg d’une drogue proche du chanvre indien, le «khat». Le rewmiste a soutenu lors de son audition qu’il ne savait pas le contenu du colis.
Près de quatre (4) mois après les faits, il revient à la chambre d’accusation de d’accélérer la machine judiciaire. Ce, suite à la demande d’annulation de cette procédure déposée par l’avocat du mis en cause. «L’As» précise que pour éviter les lenteurs du ministère public, le conseil du secrétaire permanent de Rewmi avait relevé appel de la décision du refus du juge d’instruction d’accorder à son client la liberté provisoire.
Laquelle démarche obligeait la chambre d’accusation à statuer. Contrairement à la décision du juge d’instruction, l’avocat de Samba Thioub avait estimé que le «khat» qui vaut des déboires judiciaires à son client ne faisait pas partie des substances prohibées contenues dans le code des drogues sénégalais.
Le secrétaire permanent du parti d’Idrissa Seck croise les doigts.
Près de quatre (4) mois après les faits, il revient à la chambre d’accusation de d’accélérer la machine judiciaire. Ce, suite à la demande d’annulation de cette procédure déposée par l’avocat du mis en cause. «L’As» précise que pour éviter les lenteurs du ministère public, le conseil du secrétaire permanent de Rewmi avait relevé appel de la décision du refus du juge d’instruction d’accorder à son client la liberté provisoire.
Laquelle démarche obligeait la chambre d’accusation à statuer. Contrairement à la décision du juge d’instruction, l’avocat de Samba Thioub avait estimé que le «khat» qui vaut des déboires judiciaires à son client ne faisait pas partie des substances prohibées contenues dans le code des drogues sénégalais.
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