Le 8 avril dernier déjà, à peine le traité d’adhésion de la RDC signé, les présidents Tshisekedi, Kagame, Museveni et Kenyatta s’étaient discrètement retrouvés à huis clos pour évoquer l’épineuse question de l’insécurité dans l’est de la RDC. La rencontre du jour est destinée à poursuivre le dialogue alors engagé en associant cette fois le Burundi, dont le président Évariste Ndayishimiye a fait le déplacement.
Car outre les enjeux économiques, la RDC voit dans son adhésion à la Communauté d’Afrique de l’Est une opportunité d’obtenir des soutiens capables de peser sur le président rwandais Paul Kagame. Kinshasa soupçonne son voisin d’être en partie responsable du regain d’activité du M23, en lui fournissant des armes notamment, ce que Kigali dément. Le climat des discussions s’annonce délicat.
Car outre les enjeux économiques, la RDC voit dans son adhésion à la Communauté d’Afrique de l’Est une opportunité d’obtenir des soutiens capables de peser sur le président rwandais Paul Kagame. Kinshasa soupçonne son voisin d’être en partie responsable du regain d’activité du M23, en lui fournissant des armes notamment, ce que Kigali dément. Le climat des discussions s’annonce délicat.
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