Centre-ville du Cap, Afrique du Sud. Wikimedia
C’est par un coup de fil du Sunday Times que Ben Turok a appris les détails de la menace qui pesait sur lui. Le président du comité d’éthique du Parlement était sous protection policière depuis une quinzaine de jours. Il savait que des menaces de mort avaient été proférées à son encontre, sans plus d’information. Ce que l’hebdomadaire sud-africain lui a appris et qui a été publié ce dimanche, c’est que le chef de la sécurité de l’Assemblée avait rencontré il y a trois semaines au Cap un homme qui affirme avoir été engagé par le petit ami de l’ancienne ministre de la Communication Dina Pule pour le tuer. Le tuer lui et un autre membre du comité d’éthique, Fazela Mohamed.
L'ancienne ministre reconnue coupable d'avoir menti au Parlement
L’homme a non seulement pris contact avec les responsables de la sécurité du Parlement, mais aussi avec le Sunday Times. Pour l’instant, la police dit prendre ses informations au sérieux, mais estime qu’il est trop tôt pour se prononcer sur leur véracité. Dina Pule a été reconnue coupable cette semaine par le comité d’éthique de mauvaise conduite, mais aussi d’avoir menti au Parlement. L’ancienne ministre de la Communication avait affirmé ne pas connaître le patron de Khemano, présenté comme son amant et à qui elle aurait accordé des faveurs, six millions de rands en frais de gestion et de voyages d’affaires autour du monde. Dina Pule avait été amenée à démissionner le mois dernier de ses fonctions, près d’un an après que l’affaire a été révélée, là encore par le Sunday Times.
Source : Rfi.fr
L'ancienne ministre reconnue coupable d'avoir menti au Parlement
L’homme a non seulement pris contact avec les responsables de la sécurité du Parlement, mais aussi avec le Sunday Times. Pour l’instant, la police dit prendre ses informations au sérieux, mais estime qu’il est trop tôt pour se prononcer sur leur véracité. Dina Pule a été reconnue coupable cette semaine par le comité d’éthique de mauvaise conduite, mais aussi d’avoir menti au Parlement. L’ancienne ministre de la Communication avait affirmé ne pas connaître le patron de Khemano, présenté comme son amant et à qui elle aurait accordé des faveurs, six millions de rands en frais de gestion et de voyages d’affaires autour du monde. Dina Pule avait été amenée à démissionner le mois dernier de ses fonctions, près d’un an après que l’affaire a été révélée, là encore par le Sunday Times.
Source : Rfi.fr
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