Les journalistes de l’Agence de presse sénégalaise (APS sont très remontés contre le gouvernement du Sénégal. Selon leur porte-parole Bamba Kassé, « après avoir déclenché un service minimum, plusieurs décisions ont été prises. D’abord, la première décision consiste à reconduire le service minimum jusqu’à lundi prochain. Et à partir d’aujourd’hui, jusqu’à jeudi, nous allons produire trois dépêches par jour. Une manière de marquer les esprits, de montrer que nous ne sommes pas contents de la direction ».
M. Kassé de poursuivre ces propos, « jeudi prochain à 10 heures 30, nous allons organiser un sit in, suivi d’un point de presse. Ce que nous revendiquons, c’est que l’Etat se penche sur la situation de l’Agence de presse sénégalaise (APS). Car, depuis sa création en 1959, rien n’a bougé à l’APS. C’est le même statut, la même considération et le même type de moyen qu’on nous accorde. Ce qui fait que l’APS est dans une obsolescence extraordinaire ».
«Aujourd’hui nous avons atteint le point de limite. Donc, nous considérons que le premier problème de l’APS, il est structurel. Il va falloir repenser l’APS, lui donner son statut juridique et qui tient compte du contexte économique dans lequel l’APS évolue », a lancé le journaliste.
Il conclut "nous n’avons même pas de siège. Alors, il est temps de dire stop à l’Etat, propriétaire de la structure regardez l’APS et redonnez-lui du souffle"
M. Kassé de poursuivre ces propos, « jeudi prochain à 10 heures 30, nous allons organiser un sit in, suivi d’un point de presse. Ce que nous revendiquons, c’est que l’Etat se penche sur la situation de l’Agence de presse sénégalaise (APS). Car, depuis sa création en 1959, rien n’a bougé à l’APS. C’est le même statut, la même considération et le même type de moyen qu’on nous accorde. Ce qui fait que l’APS est dans une obsolescence extraordinaire ».
«Aujourd’hui nous avons atteint le point de limite. Donc, nous considérons que le premier problème de l’APS, il est structurel. Il va falloir repenser l’APS, lui donner son statut juridique et qui tient compte du contexte économique dans lequel l’APS évolue », a lancé le journaliste.
Il conclut "nous n’avons même pas de siège. Alors, il est temps de dire stop à l’Etat, propriétaire de la structure regardez l’APS et redonnez-lui du souffle"
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