Il y a eu l'effet de la crise dont l'ampleur s'est révélée au cours de l'année 2019, puis l'explosion du port de Beyrouth, le 4 août 2020. Ces deux facteurs ont entraîné une forte hausse de l'aide publique française au Liban. Les crédits annuels de l'État français pour le pays ont été multipliés par 2,7 dès l'année 2020. Paris est désormais le troisième bailleur bilatéral du Liban, derrière l'Allemagne et les États-Unis.
De nombreux acteurs sur le terrain
Le président français, Emmanuel Macron, qui s'est rendu à deux reprises à Beyrouth après l'explosion du port, avait fait du soutien à l'éducation une « priorité absolue ». Et c'est bien ce secteur qui a le plus bénéficié de l'aide française au cours des trois dernières années, devant la santé et l'alimentation. Les bailleurs internationaux du Liban réclamant des réformes structurelles pour le déblocage de prêts, l'aide française aujourd'hui se fait sous la forme de dons distribués « par des canaux principalement non étatiques », relève le rapport.
Mais plusieurs acteurs interviennent dans l'aide au Liban : l'Agence pour l'enseignement du français à l'étranger, l'Agence française de développement, le Centre de crises du ministère des Affaires étrangères. Et étant donné la durée de la crise libanaise, la Cour des comptes préconise de repenser le suivi général de l'aide. Elle réclame la mise en place d'un « dispositif de suivi transversal (...) qui permette d'évaluer son impact ».
De nombreux acteurs sur le terrain
Le président français, Emmanuel Macron, qui s'est rendu à deux reprises à Beyrouth après l'explosion du port, avait fait du soutien à l'éducation une « priorité absolue ». Et c'est bien ce secteur qui a le plus bénéficié de l'aide française au cours des trois dernières années, devant la santé et l'alimentation. Les bailleurs internationaux du Liban réclamant des réformes structurelles pour le déblocage de prêts, l'aide française aujourd'hui se fait sous la forme de dons distribués « par des canaux principalement non étatiques », relève le rapport.
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