Alassane Ouattara au Burkina en tant que président de la Côte d’Ivoire, c’est un grand symbole pour les Burkinabè, Blaise Compaoré en tête.
Taxé de Burkinabè, le « cas » Ouattara est le sujet qui a toujours empoisonné les relations entre Abidjan et Ouagadougou, depuis la mort en 1993 du premier président ivoirien Houphouët-Boigny. Au plus fort des différentes crises, Laurent Gbagbo et ses proches ont souvent dénoncé les liens entre Alassane Ouattara et Blaise Compaoré. Conséquence de telles accusations : les tracasseries et exactions sur les immigrés burkinabè estimés à, au moins, trois millions en Côte d’Ivoire.
Si Compaoré s’est gardé longtemps d’afficher clairement ses positions pour ne pas envenimer la situation, le président burkinabè a pris, dans la dernière crise post-électorale, fait et cause pour Ouattara, sur le front diplomatique notamment, dans toutes les instances internationales, que ce soit à la CEDEAO (Communauté des Etats d'Afrique de l'ouest), au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine ou encore au sein du Conseil du panel des chefs d’Etats sur la Côte d’Ivoire.
Compaoré a partout défendu la victoire de Ouattara au point de s’attirer les foudres des partisans de l’ancien président, Laurent Gbagbo.
Taxé de Burkinabè, le « cas » Ouattara est le sujet qui a toujours empoisonné les relations entre Abidjan et Ouagadougou, depuis la mort en 1993 du premier président ivoirien Houphouët-Boigny. Au plus fort des différentes crises, Laurent Gbagbo et ses proches ont souvent dénoncé les liens entre Alassane Ouattara et Blaise Compaoré. Conséquence de telles accusations : les tracasseries et exactions sur les immigrés burkinabè estimés à, au moins, trois millions en Côte d’Ivoire.
Si Compaoré s’est gardé longtemps d’afficher clairement ses positions pour ne pas envenimer la situation, le président burkinabè a pris, dans la dernière crise post-électorale, fait et cause pour Ouattara, sur le front diplomatique notamment, dans toutes les instances internationales, que ce soit à la CEDEAO (Communauté des Etats d'Afrique de l'ouest), au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine ou encore au sein du Conseil du panel des chefs d’Etats sur la Côte d’Ivoire.
Compaoré a partout défendu la victoire de Ouattara au point de s’attirer les foudres des partisans de l’ancien président, Laurent Gbagbo.
Autres articles
-
L'Afrique du Sud renvoie sept Kényans travaillant pour le programme américain de relocalisation des Afrikaners
-
Guinée-Bissau: la femme d'Umaro Sissoco Embalo mise en examen au Portugal
-
Mali: enquête ouverte sur un agent des services de renseignement français
-
En Érythrée, les Nations unies appellent à la libération de 10000 personnes arbitrairement détenues
-
Maroc: à Safi, après les inondations meurtrières, la colère des habitants après des années d'abandon




L'Afrique du Sud renvoie sept Kényans travaillant pour le programme américain de relocalisation des Afrikaners


