Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, pourtant critiqué, reste à son poste ainsi que les détenteurs des ministères régaliens, selon la liste publiée par la présidence de la République.
Sont partants le ministre de l'Energie, Abdelamadjid Attar, et son collègue de l'Industrie, Ferhat Aït Ali, très critiqué pour sa gestion du dossier de la relance de l'industrie automobile. Les ministres des Ressources en eau, du Tourisme, de l'Environnement et des Travaux publics quittent également le gouvernement.
En revanche, le ministre de la Justice, Belkacem Zeghmati, symbole de la répression judiciaire contre l'opposition et les militants du Hirak, garde son portefeuille, comme le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement Ammar Belhimer, qui a la haute main sur les médias.
Dissolution de l’Assemblée nationale
Abdemadjid Tebboune avait auparavant dissous l'Assemblée populaire nationale (APN), la chambre basse du Parlement, ouvrant la voie à des élections législatives anticipées dans les six mois. Aucune date n'a encore été fixée pour le scrutin. Mais la classe politique table sur le mois de juin.
Dans un discours-programme à la nation, le chef de l'État avait annoncé jeudi soir la dissolution de la chambre basse du Parlement et l'organisation d'élections législatives anticipées.
Pour répondre à la rue, le président algérien a également décrété jeudi une grâce présidentielle en faveur d'une soixantaine de détenus d'opinion, un geste d'apaisement adressé au mouvement de protestation populaire du Hirak. Depuis, près de 40 prisonniers ont été libérés.
Sont partants le ministre de l'Energie, Abdelamadjid Attar, et son collègue de l'Industrie, Ferhat Aït Ali, très critiqué pour sa gestion du dossier de la relance de l'industrie automobile. Les ministres des Ressources en eau, du Tourisme, de l'Environnement et des Travaux publics quittent également le gouvernement.
En revanche, le ministre de la Justice, Belkacem Zeghmati, symbole de la répression judiciaire contre l'opposition et les militants du Hirak, garde son portefeuille, comme le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement Ammar Belhimer, qui a la haute main sur les médias.
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