Ansoumana Dione n’en a pas encore fini avec le Président-candidat Macky Sall. En effet? après une première requête au niveau du Conseil Constitutionnel pour invalider la loi sur le parrainage, le leader de Jamu Askan wi a décidé de franchir un autre seuil avec la saisine de la Cour de justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) pour cette fois-ci annuler la candidature de Macky Sall.
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, M. Dione étale ses griefs contre le Président Sall : «Après son recours aux fins d’abrogation de la loi sur le parrainage, déposé au greffe du Conseil Constitutionnel, depuis le 15 octobre 2018, Ansoumana Dione, leader de Jaamu Askan wi, le Serviteur du Peuple, candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2019, va saisir la Cour de justice de la Cedeao. Ceci, pour pousser les sept sages à statuer sur sa requête incriminant la participation du Président Macky SALL à la collecte des signatures, puisqu’il est déjà candidat à sa propre succession, suivant notre Constitution lui garantissant le droit de briguer un second mandat, sans aucune condition.»
Selon lui, «avec l’enrôlement illégal et arbitraire du chef de l’Etat au parrainage, le premier tour du scrutin prévu le dimanche 24 février prochain, a été anticipé, en violation des droits des citoyens. En vérité, cette loi a été votée pour permettre au régime actuel, de pouvoir voler facilement l’élection présidentielle de 2019, comme il est en train de le réussir, si l’on y prend garde. D’où l’urgence pour la Cour de justice de la CEDEAO de prendre ses responsabilités, pour la paix et la stabilité du Sénégal et de notre Sous-région.»
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, M. Dione étale ses griefs contre le Président Sall : «Après son recours aux fins d’abrogation de la loi sur le parrainage, déposé au greffe du Conseil Constitutionnel, depuis le 15 octobre 2018, Ansoumana Dione, leader de Jaamu Askan wi, le Serviteur du Peuple, candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2019, va saisir la Cour de justice de la Cedeao. Ceci, pour pousser les sept sages à statuer sur sa requête incriminant la participation du Président Macky SALL à la collecte des signatures, puisqu’il est déjà candidat à sa propre succession, suivant notre Constitution lui garantissant le droit de briguer un second mandat, sans aucune condition.»
Selon lui, «avec l’enrôlement illégal et arbitraire du chef de l’Etat au parrainage, le premier tour du scrutin prévu le dimanche 24 février prochain, a été anticipé, en violation des droits des citoyens. En vérité, cette loi a été votée pour permettre au régime actuel, de pouvoir voler facilement l’élection présidentielle de 2019, comme il est en train de le réussir, si l’on y prend garde. D’où l’urgence pour la Cour de justice de la CEDEAO de prendre ses responsabilités, pour la paix et la stabilité du Sénégal et de notre Sous-région.»
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