Le Code de l’aquaculture a été présenté lundi aux professionnels et investisseurs de la région de Matam, une zone où l’intérêt pour ce sous-secteur de la pêche ne cesse de croître. Selon Toumany Macky Mané, inspecteur régional de la surveillance des pêches, ce texte arrive « à son heure ». Il souligne que « de plus en plus, dans la région, des personnes s’intéressent à l’aquaculture sans savoir comment y investir » et que ce Code permettra désormais de s’appuyer sur un cadre légal clair.
Organisée par l’Agence nationale de l’aquaculture, la rencontre vise à faciliter l’appropriation du document, afin d’aider les acteurs locaux à mener leurs activités dans de meilleures conditions, indique l'Aps. Matam figure parmi les régions aux plus fortes potentialités piscicoles, avec « une centaine de plans d’eau propices à l’aquaculture », rappelle M. Mané, tout en notant « une raréfaction des ressources » ces dernières années.
Pour l’ingénieur aquacole Jean-Marie Sambou, représentant du Projet de gestion des ressources naturelles, ce Code peut permettre à l’aquaculture d’« entrer dans son essor », à condition que les acteurs s’en saisissent pleinement.
Il estime que « ce sous-secteur intéresse beaucoup de personnes » et qu’une seconde phase de vulgarisation est prévue pour familiariser les services techniques régionaux avec ce nouvel outil réglementaire.
Organisée par l’Agence nationale de l’aquaculture, la rencontre vise à faciliter l’appropriation du document, afin d’aider les acteurs locaux à mener leurs activités dans de meilleures conditions, indique l'Aps. Matam figure parmi les régions aux plus fortes potentialités piscicoles, avec « une centaine de plans d’eau propices à l’aquaculture », rappelle M. Mané, tout en notant « une raréfaction des ressources » ces dernières années.
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