Batailles, insultes, entre autres constituent ces derniers temps le quotidien des débutés qui, depuis la confirmation de Modou Diagne Fada comme président du groupe parlementaire des Libéraux et Démocrates, montrent, selon certains Sénégalais qui se sont entretenues avec la rédaction de Pressafrik.com, que les intérêts du pays sont relégués au second rang, bien après ceux des députés ou de leur parti.
Awa Ndiaye, habitante des Parcelles Assainies fait état de son profond dégoût vis-à-vis des parlementaires qui sont sensés défendre les Sénégalais : «On me disait toujours que les débutés ne sont à l’Assemblée nationale que pour défendre leurs intérêts. Mais en tant que citoyenne de la nouvelle génération, cela ne m’a pas empêché de m’acquitter de mon devoir. Mais leurs comportements me déçoit, et je ne sais pas si lors des prochaines élections, je vais aller voter», a-t-elle soutenu.
Awa n’est pas la seules à abonder dans ce même sens. En effet, Alune Ndiaye, professeur de mathématiques, considère lui aussi, qu’il y a des sujets beaucoup plus importants que le contrôle d’un groupe parlementaire sur lesquels les représentants du peuple devaient pouvoir débattre. Et cette conviction est partagée par son collègue qui a préféré gardé l’anonymat : «ils sont tous les mêmes. Vous avez vu que l’année scolaire est menacée avant même d’avoir débuté. Et, au lieu de parler de ça, ils ont préféré se quereller pour le contrôle d’un groupe parlementaire».
Ablaye Fall, ancien parlementaire soutient lui, que l’Assemblée nationale ne doit pas être un lieu où les débats se font à l’aide de coups de poings : «l’Assemblée ne doit pas être assimilée à un ring sur lequel chacun veut montrer sa virilité. Il y a toujours eu des débats houleux au sein de l’hémicycle où des personnes qui ne sont pas de la même obédience politique se côtoient, mais il faut savoir raison garder et faire abstraction de ses intérêts au profit de l’intérêt général», conseille-t-il.
Ces interventions confortent la position de ceux qui prônent que la classe politique sénégalaise doit être sanctionnée négativement dans son ensemble. Car si ceux qui sont censés être des exemples pour leur comportement et les luttes qu’ils mènent pour l’émergence de la population se donnent en spectacle, il n’y a pas d’autres mesures à prendre que la sanction.
Awa Ndiaye, habitante des Parcelles Assainies fait état de son profond dégoût vis-à-vis des parlementaires qui sont sensés défendre les Sénégalais : «On me disait toujours que les débutés ne sont à l’Assemblée nationale que pour défendre leurs intérêts. Mais en tant que citoyenne de la nouvelle génération, cela ne m’a pas empêché de m’acquitter de mon devoir. Mais leurs comportements me déçoit, et je ne sais pas si lors des prochaines élections, je vais aller voter», a-t-elle soutenu.
Awa n’est pas la seules à abonder dans ce même sens. En effet, Alune Ndiaye, professeur de mathématiques, considère lui aussi, qu’il y a des sujets beaucoup plus importants que le contrôle d’un groupe parlementaire sur lesquels les représentants du peuple devaient pouvoir débattre. Et cette conviction est partagée par son collègue qui a préféré gardé l’anonymat : «ils sont tous les mêmes. Vous avez vu que l’année scolaire est menacée avant même d’avoir débuté. Et, au lieu de parler de ça, ils ont préféré se quereller pour le contrôle d’un groupe parlementaire».
Ablaye Fall, ancien parlementaire soutient lui, que l’Assemblée nationale ne doit pas être un lieu où les débats se font à l’aide de coups de poings : «l’Assemblée ne doit pas être assimilée à un ring sur lequel chacun veut montrer sa virilité. Il y a toujours eu des débats houleux au sein de l’hémicycle où des personnes qui ne sont pas de la même obédience politique se côtoient, mais il faut savoir raison garder et faire abstraction de ses intérêts au profit de l’intérêt général», conseille-t-il.
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