Audrey Pulvar et Valérie Trierweiler ont plus d'un point en commun : toutes deux journalistes, elles ont vu leur carrière être remises en question lorsque leurs conjoints respectifs, Arnaud Montebourg et François Hollande, ont accédé au pouvoir en mai dernier. Ministre du Redressement Productif et Président de la République, voilà un CV qu'il est dur de faire oublier pour leurs compagnes, déjà sous les feux des projecteurs de par leur métier.
Pourtant, il ne semble pas que la solidarité soit vraiment de mise, à en lire l'interview d'Audrey Pulvar dans le journal belge "Le Soir" : "Là où je ne suis pas tout à fait d'accord avec Valérie Trierweiler," déclare-t-elle, "c'est qu'elle veut à la fois être sur la photo et commenter la photo. Etre à la fois Première Dame, aux côtés du chef de l'Etat dans les dîners et les voyages officiels, mais en même temps journaliste et commenter l'actualité politique. Elle veut être à la fois juge et partie."
Des attaques d'autant plus surprenantes que la nouvelle directrice de la rédaction des "Inrocks" avait perdu son siège chez Laurent Ruquier précisément pour un souci d'objectivité politique, ce qu'elle avait dénoncé de manière virulente. De plus, Valérie Trierweiler a conservé son poste de critique littéraire au sein de "Paris Match", mais a dû refuser une offre d'émission sur D8, soit la même chaîne où Audrey Pulvar officie en tant que chroniqueuse dans l'émission de Laurence Ferrari !
Elle s'est ensuite défendue sur Twitter, en expliquant que ses phrases avaient été "raccourcies" par "Le Soir", qui avait "coupé/collé" ses réponses pour leur donner "un sens uniquement à charge qu'elles n'ont pas. Facile." Et d'enfoncer le clou : "Je répète : les attaques à propos du Valtweetgate sont disproportionnées. Je ne suis pas toujours d'accord avec elle mais je soutiens @valtrier." Excuses un peu tardives ou remords sincères ?
PG (Closer.fr)
Pourtant, il ne semble pas que la solidarité soit vraiment de mise, à en lire l'interview d'Audrey Pulvar dans le journal belge "Le Soir" : "Là où je ne suis pas tout à fait d'accord avec Valérie Trierweiler," déclare-t-elle, "c'est qu'elle veut à la fois être sur la photo et commenter la photo. Etre à la fois Première Dame, aux côtés du chef de l'Etat dans les dîners et les voyages officiels, mais en même temps journaliste et commenter l'actualité politique. Elle veut être à la fois juge et partie."
Des attaques d'autant plus surprenantes que la nouvelle directrice de la rédaction des "Inrocks" avait perdu son siège chez Laurent Ruquier précisément pour un souci d'objectivité politique, ce qu'elle avait dénoncé de manière virulente. De plus, Valérie Trierweiler a conservé son poste de critique littéraire au sein de "Paris Match", mais a dû refuser une offre d'émission sur D8, soit la même chaîne où Audrey Pulvar officie en tant que chroniqueuse dans l'émission de Laurence Ferrari !
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