Donald Trump pourrait se retrouver dès lundi sous le coup d'une seconde procédure de destitution, un développement sans précédent historique, alors qu'il ne montrait, samedi 9 janvier, aucun signe de vouloir démissionner ou se mettre en retrait après les violences du 6 janvier au Capitole.
Un texte de mise en accusation ("impeachment"), rédigé par des élus démocrates à la Chambre des représentants, reproche au président républicain d'avoir "délibérément fait des déclarations" qui ont encouragé l'invasion du bâtiment du Congrès par ses partisans.
Réunis par Donald Trump pour manifester contre la certification par le Congrès de la victoire de Joe Biden à la présidentielle, ils avaient ensuite fait irruption pendant la séance parlementaire. Des événements jamais vus à Washington et au cours desquels cinq personnes sont mortes, dont un policier.
Plusieurs figures de l'assaut ont été interpellées par la police et inculpées samedi d'intrusion illégale et conduite violente, notamment le complotiste Jake Angeli. Ce dernier, qui avait aimanté l'attention des photographes avec ses tatouages et son couvre-chef cornu, avait apporté une lance dans le temple de la démocratie américaine.
L'article de mise en accusation, signé par au moins 190 parlementaires selon l'élu démocrate Ted Lieu, affirme ainsi que Donald Trump a "gravement mis en danger la sécurité des États-Unis et de ses institutions de gouvernement".
Un texte de mise en accusation ("impeachment"), rédigé par des élus démocrates à la Chambre des représentants, reproche au président républicain d'avoir "délibérément fait des déclarations" qui ont encouragé l'invasion du bâtiment du Congrès par ses partisans.
Réunis par Donald Trump pour manifester contre la certification par le Congrès de la victoire de Joe Biden à la présidentielle, ils avaient ensuite fait irruption pendant la séance parlementaire. Des événements jamais vus à Washington et au cours desquels cinq personnes sont mortes, dont un policier.
Plusieurs figures de l'assaut ont été interpellées par la police et inculpées samedi d'intrusion illégale et conduite violente, notamment le complotiste Jake Angeli. Ce dernier, qui avait aimanté l'attention des photographes avec ses tatouages et son couvre-chef cornu, avait apporté une lance dans le temple de la démocratie américaine.
L'article de mise en accusation, signé par au moins 190 parlementaires selon l'élu démocrate Ted Lieu, affirme ainsi que Donald Trump a "gravement mis en danger la sécurité des États-Unis et de ses institutions de gouvernement".
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