La conférence de presse de Taxawu Senegaal de ce mercredi 14 novembre a été l’occasion pour ses membres de faire le procès des journalistes, notamment des patrons de presse. Ces derniers, selon eux, ont la mauvaise habitude de montrer leur préférence au pouvoir en place dans le traitement de l’information.
Présent à cet exercice, le maire de Mermoz Sacré-Cœur a encore remis sur la table son discours pour dénoncer le déséquilibre dans le traitement de l’information : «Il y a des patrons de presse qui doivent comprendre que la presse ne peut pas être un mouvement de soutien pour le pouvoir. La presse, elle est là pour informer juste et vrai pour que le peuple puisse s’impliquer». Mieux, il l’invite «à un traitement beaucoup plus équitable de l’information.»
Sur la même lancée, son collègue Cheikh Gueye, se gardant de «donner une leçon à la presse, lance cependant en direction des journalistes : «vous jouez un rôle extrêmement important dans ce pays. Vous êtes des Sénégalais comme nous. Ce que vous voulez c’est ce que nous voulons, c’est le développement du pays, donner autant de crédit à ce que nous disons», a-t-il lancé.
Et de poursuivre : «j’ai comme impression que souvent on se focalise sur ce que le pouvoir dit et ça peut impacter sur la conscience des Sénégalais. Quand nous, nous disons que Khalifa Sall est candidat, relayez cette information, habillez cette information».
Avant de conclure ce chapitre : «nous avons comme l’impression que vous habillez plus l’information venant du pouvoir que l’information venant de nous. Nous sommes convaincus de ce que nous disons. Donc, essayez de relayer ce que nous disons», a-t-il conclu.
Présent à cet exercice, le maire de Mermoz Sacré-Cœur a encore remis sur la table son discours pour dénoncer le déséquilibre dans le traitement de l’information : «Il y a des patrons de presse qui doivent comprendre que la presse ne peut pas être un mouvement de soutien pour le pouvoir. La presse, elle est là pour informer juste et vrai pour que le peuple puisse s’impliquer». Mieux, il l’invite «à un traitement beaucoup plus équitable de l’information.»
Sur la même lancée, son collègue Cheikh Gueye, se gardant de «donner une leçon à la presse, lance cependant en direction des journalistes : «vous jouez un rôle extrêmement important dans ce pays. Vous êtes des Sénégalais comme nous. Ce que vous voulez c’est ce que nous voulons, c’est le développement du pays, donner autant de crédit à ce que nous disons», a-t-il lancé.
Et de poursuivre : «j’ai comme impression que souvent on se focalise sur ce que le pouvoir dit et ça peut impacter sur la conscience des Sénégalais. Quand nous, nous disons que Khalifa Sall est candidat, relayez cette information, habillez cette information».
Avant de conclure ce chapitre : «nous avons comme l’impression que vous habillez plus l’information venant du pouvoir que l’information venant de nous. Nous sommes convaincus de ce que nous disons. Donc, essayez de relayer ce que nous disons», a-t-il conclu.
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