Surtout qu’après les désistements spectaculaires de la Mauritanie et de la Guinée ce tournoi se réduit à une double confrontation entre le Sénégal et le pays hôte, le Mali.
Or, le vainqueur de ce tournoi décroche l’unique visa de la zone pour Tripoli. Il ne fait alors l’ombre d’aucun doute que le Mali se retrouve “avantager“, faute d’arbitres.
Cette imprévision, ce cas de force majeur, devrait impérativement pousser la Fiba-Afrique à revoir sa formule. Ne serait-ce que sur le plan de l’équité sportive qui exige que toutes les équipes partent à chance égale dans les phases de qualification.
D’ailleurs, c’est pour cette raison qu’au niveau de la Fifa, les règles sont connues d’avance. Les dernières journées se disputent le même jour et à la même heure. Ce, quelque soit le décalage horaire, l’altitude, les conditions climatiques.
On se souvient encore en 2001, de la volonté de l’Egypte de vouloir jouer son match contre l’Algérie après celui devant opposer le Sénégal à la Namibie à Windhoek. Les autorités de la fédération sénégalaise de football avaient saisi à la fois la Caf et la Fifa, pour que l’équité sportive soit respectée. Les deux instances du football donnèrent raison au Sénégal. La suite est connue.
Aujourd’hui, pour que la Fiba-Afrique ne soit pas considérée comme une Fédération rétrograde, elle doit impérativement marquer un énorme coup pour compenser son « retard ».
C’est pourquoi, la réunion technique de ce vendredi devant déterminer la formule à adopter dans ce tournoi n’a plus beaucoup d’importance à nos yeux. Surtout que le tournoi s’est mué en un duel entre le Mali et le Sénégal.
L’idéal serait de jouer les deux matches en aller et retour dans les pays. A défaut de faire comme le football où les éliminatoires aux phases finales de compétitions africaines transcendent les différentes zones pour être organiser à l’échelle continentale.
Or, le vainqueur de ce tournoi décroche l’unique visa de la zone pour Tripoli. Il ne fait alors l’ombre d’aucun doute que le Mali se retrouve “avantager“, faute d’arbitres.
Cette imprévision, ce cas de force majeur, devrait impérativement pousser la Fiba-Afrique à revoir sa formule. Ne serait-ce que sur le plan de l’équité sportive qui exige que toutes les équipes partent à chance égale dans les phases de qualification.
D’ailleurs, c’est pour cette raison qu’au niveau de la Fifa, les règles sont connues d’avance. Les dernières journées se disputent le même jour et à la même heure. Ce, quelque soit le décalage horaire, l’altitude, les conditions climatiques.
On se souvient encore en 2001, de la volonté de l’Egypte de vouloir jouer son match contre l’Algérie après celui devant opposer le Sénégal à la Namibie à Windhoek. Les autorités de la fédération sénégalaise de football avaient saisi à la fois la Caf et la Fifa, pour que l’équité sportive soit respectée. Les deux instances du football donnèrent raison au Sénégal. La suite est connue.
Aujourd’hui, pour que la Fiba-Afrique ne soit pas considérée comme une Fédération rétrograde, elle doit impérativement marquer un énorme coup pour compenser son « retard ».
C’est pourquoi, la réunion technique de ce vendredi devant déterminer la formule à adopter dans ce tournoi n’a plus beaucoup d’importance à nos yeux. Surtout que le tournoi s’est mué en un duel entre le Mali et le Sénégal.
L’idéal serait de jouer les deux matches en aller et retour dans les pays. A défaut de faire comme le football où les éliminatoires aux phases finales de compétitions africaines transcendent les différentes zones pour être organiser à l’échelle continentale.
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