La junte birmane a annoncé ce lundi la libération de plus de 3.000 prisonniers à l'occasion du Nouvel An bouddhiste, sans préciser si cette amnistie s'appliquait à ceux arrêtés dans le cadre de sa répression contre l'opposition. Le chef de la junte Min Aung Hlaing a «gracié 3.015 détenus pour célébrer le Nouvel An birman, pour la paix du peuple, et sur des bases humanitaires», a indiqué le service communication de l'armée au pouvoir. En cas d'une nouvelle infraction à la loi, les personnes libérées devront purger le restant de leur condamnation avec une peine supplémentaire, est-il indiqué. Le communiqué n'a pas précisé si des opposants à la junte, ou des journalistes emprisonnés pour avoir couvert le putsch, étaient concernés par l'amnistie.
Autres articles
-
Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale
-
Est de la RDC: comment réagit la communauté internationale à l’offensive de l’AFC/M23
-
Commerce: une taxe de 3 euros imposée sur tous les petits colis importés dans l'UE à partir du 1er juillet 2026
-
Tentative de coup d’État au Bénin: le chef de la diplomatie nigériane réagit à l’appui militaire d’Abuja
-
Cameroun: première audience pour 77 personnes arrêtées après les contestations post-électorales




Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale


