En se rendant à la boulangerie ou chez le boutiquier du quartier, de nombreux Burkinabè ont constaté cette augmentation du prix du pain. Dans la foulée, le poids de la baguette de pain passe de 180 à 200 grammes, à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso, mais dans les autres localités du pays, le poids est de 190 grammes pour le même prix.
Une augmentation que les consommateurs digèrent très mal : « Le prix du pain a augmenté. On n’est pas d’accord. Les temps sont durs ». « Ça ne nous convient pas, de 130 à 150 francs. Maintenant, il va falloir que la ligue des consommateurs se lève pour voir pourquoi cette augmentation aussi brusque ». « Non, ça ne nous convient pas parce que c’est pas normal. On ne peut pas venir fixer le prix du pain comme ça. Moi-même je me demande ce qui se passe dans ce pays. Ce n’est pas normal ».
Pour les promoteurs de boulangerie, cette augmentation leur permettra de faire face à de nouvelles charges et à la hausse continue des prix des matières premières et des équipements, explique un communiqué de la Fédération burkinabè des patrons de boulangerie et l'Union des fondateurs de boulangeries. Issa Compaoré travaille dans une boulangerie à Ouagadougou : « Vous voyez que la situation est un peu compliquée. Tout a augmenté. Toutes les choses ont augmenté : les farines, la levure. Les salaires sont trop petits. Nous allons faire ce qui est mieux pour que les populations soient contentes ».
Cette hausse du prix du pain est aussi la conséquence de la signature d'une convention collective entre les employés et les patrons de boulangerie.
Une augmentation que les consommateurs digèrent très mal : « Le prix du pain a augmenté. On n’est pas d’accord. Les temps sont durs ». « Ça ne nous convient pas, de 130 à 150 francs. Maintenant, il va falloir que la ligue des consommateurs se lève pour voir pourquoi cette augmentation aussi brusque ». « Non, ça ne nous convient pas parce que c’est pas normal. On ne peut pas venir fixer le prix du pain comme ça. Moi-même je me demande ce qui se passe dans ce pays. Ce n’est pas normal ».
Pour les promoteurs de boulangerie, cette augmentation leur permettra de faire face à de nouvelles charges et à la hausse continue des prix des matières premières et des équipements, explique un communiqué de la Fédération burkinabè des patrons de boulangerie et l'Union des fondateurs de boulangeries. Issa Compaoré travaille dans une boulangerie à Ouagadougou : « Vous voyez que la situation est un peu compliquée. Tout a augmenté. Toutes les choses ont augmenté : les farines, la levure. Les salaires sont trop petits. Nous allons faire ce qui est mieux pour que les populations soient contentes ».
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