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Burundi : Le gouvernement burundais demande le départ du représentant de l'ONU

Le gouvernement burundais vient de demander officiellement le remplacement du représentant exécutif du Secrétaire général de l'ONU et patron du Bureau intégré des Nations unies dans ce pays, le Tunisien Youssef Mahmoud. Et ce n'est pas le premier diplomate onusien à être dans le collimateur du pouvoir burundais.



Burundi : Le gouvernement burundais demande le départ du représentant de l'ONU
Cette fois c’est officiel : Bujumbura vient de demander à Ban Ki-moon, dans une note verbale signée par le chef de la diplomatie burundaise jeudi 25 décembre, le remplacement de son représentant exécutif dans son pays et N°1 du Binub (Bureau intégré des Nations unies au Burundi).
Officiellement, le gouvernement veut une nouvelle figure pour incarner les Nations unies au Burundi parce qu’il estime que le Tunisien en place depuis trois ans n’a plus le profil pour diriger un bureau qui passe du département de maintien de la paix à celui des affaires politiques.
Aux Nations unies, on n’apprécie guère ce geste, qualifié d’inamical malgré le ton très courtois de la note verbale. Un diplomate rappelle que le ministre burundais des Relations extérieures Augustin Nsanze a menacé devant le Conseil de sécurité il y a deux semaines de demander le remplacement de Youssef Mahmoud accusé par le pouvoir burundais d’être proche de l’opposition.
Il s’agit d’un camouflet pour le Secrétaire général de l’ONU, explique le même diplomate, d’autant qu’il s’agit du troisième représentant de l’ONU chassé poliment de ce pays au cours des quatre dernières années.
De son côté l’opposition burundaise s’est dite très inquiète en estimant qu’il s’agit d’un signal lancé à la communauté internationale pour lui dire de ne pas se mêler des élections de 2010 au Burundi.

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RFI

Samedi 26 Décembre 2009 - 11:57


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1.Posté par NKUZINMANA Jean -Claude le 28/12/2009 13:29
Rien d´etonnant!!!!!!

depuis environs 5 ans, la communaute internationale en tete celle qui incarne le monde entien l´´ONU a conduit ce qu´elle a appellee processus de paix au burundi.
Mettant en cause le droit internationale dont la lutte contre le genocide, l´ONU s´est deliberement refuse de publier offieciellement le rapport S/1996/682 qu´elle elle meme commandite! pression sur pression, embargo sur embargo, le pseudo processus de paix a abouti aux accord d´Arusha, la rentree des groupes genocidaires qualifies, appuye leur amnistie dite provisoire mais qui est devenue generale.
Suivant les memes accords, le groupe genocidaire original le FNL vient de rentrer sous un semblant d´arret de la guerre. Ces divers goupes genocidaires, l´ONU les connait, leurs objectifs!
aujourd´hui, il est temps de faire le bilan, ce qui a ete totalement negatif, et les nations unies le savent a travers plusieurs rapports des diverses organisations natinales et internatinales des droits de l´homme, sans oublier les rapport du representant special de l´ONU au Burundi.
ce que les nations unies ont oublie est que des gens ne peuvent pas provenir de la foret et devenir spontanement des democrates, sans aucun autre phenomene de socialisation! C´est ce qui a caracterise l´Etat sauvage, primitif du regime Nkurunziza, un Etat ou comme il se faisait dans la foret le plus fort ecrase le plus faible, et cela sous l´oeil complices des fameuses nations unies. Motif de complicite, les elections. les nations unies ignore que legalite n´est pas legitimite.
les nations unies savent que bien qu´elu, le pouvoir de Bujumbura est le plus illegitime que les anciens pouvoirs illegaux. Maintenant que la descentes aux enfers commence, le pouvoir NKURUNZIZA veut agir selon ses volontes et celles de ses generaux qui le dominent, faire du Burubdi un Ilot, un vase clos , ou tout oeil etranger est mal vu, surtout l´oeil des nations unies. Qoui d´etonnant! Il denonce le pouvoir...il devient oppososant parmi les opposant nationaux, gare a lui s´il ne laisse pas tomber... le sort de kassi Manlan, Ernest Manirumva est l´etape suivante, est de sa mort , rien ne sera connu car les enquetes commenceront pour ne jamais se terminer.
Les elections approchent, et si glutons ils sont les 5 ans eu egard aux durs combat que les dirigeant ont connu , ils sont loin d´etre rassasie et n´entendent ni laisser ce pouvoir qu´ils ont conquis pour le ventre, encore mois retourner au maquis!
C´est pourqoui, si aujourd´hui le pouvoir de Bujumbura declare non grata le representant special des Nations Unies, ce n´est qu´une politique qui presage la suite pendant ces derniers temps de vie du CNDD-FDD au pouvoir, une duree de vie quasi ephemere mais qui a trop duree pour les populations aujoud´hui en quete de changement...!

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