Seydou Keita, milieu de terrain malien :
« On est contents mais on n’éprouve pas la même joie que l’année dernière. On aurait vraiment voulu connaître autre chose que la 3e place. Mais les erreurs faites en demi-finale seront un mal pour bien. Ça permettra à l’entraîneur d’éviter qu’on les refasse. Le coach sait maintenant comment fonctionnent les joueurs. J’espère que Patrice (Carteron) va rester le plus longtemps possible pour construire une équipe compétitive. Il a compris beaucoup de chose et ça permettra au football malien d’aller beaucoup plus loin parce qu’on apprend de nos erreurs. Changer d’entraîneur tout le temps, ça ne sert à rien. Il faut qu’il reste là le plus longtemps possible. L’année dernière, on a aussi fini 3es et (Alain) Giresse est parti. J’aurais aimé qu’il reste. Parce que c’est avec la stabilité que les résultats arrivent. […] J’espère que les Maliens sont contents même s’ils auraient aimé qu’on joue la finale demain (10 février). On n’a pas été bons contre le Nigeria. On est déçus pour eux parce qu’on aurait aimé être à la place du Nigeria ou du Burkina Faso en finale. »
Patrice Carteron, sélectionneur du Mali :Seydou Keita, milieu de terrain malien :
« On est contents mais on n’éprouve pas la même joie que l’année dernière. On aurait vraiment voulu connaître autre chose que la 3e place. Mais les erreurs faites en demi-finale seront un mal pour bien. Ça permettra à l’entraîneur d’éviter qu’on les refasse. Le coach sait maintenant comment fonctionnent les joueurs. J’espère que Patrice (Carteron) va rester le plus longtemps possible pour construire une équipe compétitive. Il a compris beaucoup de chose et ça permettra au football malien d’aller beaucoup plus loin parce qu’on apprend de nos erreurs. Changer d’entraîneur tout le temps, ça ne sert à rien. Il faut qu’il reste là le plus longtemps possible. L’année dernière, on a aussi fini 3es et (Alain) Giresse est parti. J’aurais aimé qu’il reste. Parce que c’est avec la stabilité que les résultats arrivent. […] J’espère que les Maliens sont contents même s’ils auraient aimé qu’on joue la finale demain (10 février). On n’a pas été bons contre le Nigeria. On est déçus pour eux parce qu’on aurait aimé être à la place du Nigeria ou du Burkina Faso en finale. »
Patrice Carteron, sélectionneur du Mali :
« Cette 3e place, c’est extraordinaire. C’est bien d’arriver à se hisser sur le podium une deuxième année de suite, lors d’une compétition plus relevée qu'en 2012. Une nation comme le Cameroun ne s’est pas qualifiée, la Côte d’Ivoire a été éliminée en quarts de finale, la Zambie, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc n’ont pas franchi le premier tour… On réussit à se hisser jusqu’aux demi-finales, on a les ressources mentales pour aller chercher cette 3e place. Les joueurs ont été fantastiques. Il faut vraiment leur tirer un grand coup de chapeau. Malgré la déception, il voulait vraiment ramener une médaille au pays. C’est vraiment une belle génération. Terminer troisième deux fois de suite, ça n’était jamais arrivé au Mali. Les joueurs vont être bien accueillis au pays et c’est un bel exploit. »
Cheick Diabaté, attaquant malien :
« C’était important de gagner contre le Ghana, comme l’année dernière. On était venus pour essayer de gagner la coupe. Malheureusement, on n’a pas pu remporter le trophée. Mais il fallait rester mobilisés pour garder notre place. […] Ce qu’on vient de faire, c’est énorme. C’est du jamais vu avec le Mali. On a été troisièmes deux fois d’affilée. Ça veut dire qu’on a travaillé. Mais on a la possibilité de faire plus. »
Albert Adomah, milieu de terrain ghanéen :
« C’est dommage que nous n’ayons pas pu prendre cette 3e place, mais c’est la vie. Il faut se tourner vers la prochaine édition. On ne peut pas changer le passé. Heureusement, nous avons deux ans pour progresser encore. […] Nous étions dans la même position l’année passée et nous avons donc essayé de nous battre cette année. Mais comme l’année dernière, nous les avons battus en phase de groupes. Tout le monde a montré beaucoup de courage et de caractère durant ce match. »
Jonathan Mensah, défenseur ghanéen :
« Il n’y avait pas la motivation et la confiance parce qu’on a perdu en demi-finale. Tous les joueurs sont déçus parce qu’on espérait mieux que ça ne s’est pas passé comme on le voulait. »
Tous propos recueillis par notre envoyé spécial à Port Elizabeth,
« Cette 3e place, c’est extraordinaire. C’est bien d’arriver à se hisser sur le podium une deuxième année de suite, lors d’une compétition plus relevée qu'en 2012. Une nation comme le Cameroun ne s’est pas qualifiée, la Côte d’Ivoire a été éliminée en quarts de finale, la Zambie, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc n’ont pas franchi le premier tour… On réussit à se hisser jusqu’aux demi-finales, on a les ressources mentales pour aller chercher cette 3e place. Les joueurs ont été fantastiques. Il faut vraiment leur tirer un grand coup de chapeau. Malgré la déception, il voulait vraiment ramener une médaille au pays. C’est vraiment une belle génération. Terminer troisième deux fois de suite, ça n’était jamais arrivé au Mali. Les joueurs vont être bien accueillis au pays et c’est un bel exploit. »
Cheick Diabaté, attaquant malien :
« C’était important de gagner contre le Ghana, comme l’année dernière. On était venus pour essayer de gagner la coupe. Malheureusement, on n’a pas pu remporter le trophée. Mais il fallait rester mobilisés pour garder notre place. […] Ce qu’on vient de faire, c’est énorme. C’est du jamais vu avec le Mali. On a été troisièmes deux fois d’affilée. Ça veut dire qu’on a travaillé. Mais on a la possibilité de faire plus. »
Albert Adomah, milieu de terrain ghanéen :
« C’est dommage que nous n’ayons pas pu prendre cette 3e place, mais c’est la vie. Il faut se tourner vers la prochaine édition. On ne peut pas changer le passé. Heureusement, nous avons deux ans pour progresser encore. […] Nous étions dans la même position l’année passée et nous avons donc essayé de nous battre cette année. Mais comme l’année dernière, nous les avons battus en phase de groupes. Tout le monde a montré beaucoup de courage et de caractère durant ce match. »
Jonathan Mensah, défenseur ghanéen :
« Il n’y avait pas la motivation et la confiance parce qu’on a perdu en demi-finale. Tous les joueurs sont déçus parce qu’on espérait mieux que ça ne s’est pas passé comme on le voulait. »
Tous propos recueillis par notre envoyé spécial à Port Elizabeth,b[
« On est contents mais on n’éprouve pas la même joie que l’année dernière. On aurait vraiment voulu connaître autre chose que la 3e place. Mais les erreurs faites en demi-finale seront un mal pour bien. Ça permettra à l’entraîneur d’éviter qu’on les refasse. Le coach sait maintenant comment fonctionnent les joueurs. J’espère que Patrice (Carteron) va rester le plus longtemps possible pour construire une équipe compétitive. Il a compris beaucoup de chose et ça permettra au football malien d’aller beaucoup plus loin parce qu’on apprend de nos erreurs. Changer d’entraîneur tout le temps, ça ne sert à rien. Il faut qu’il reste là le plus longtemps possible. L’année dernière, on a aussi fini 3es et (Alain) Giresse est parti. J’aurais aimé qu’il reste. Parce que c’est avec la stabilité que les résultats arrivent. […] J’espère que les Maliens sont contents même s’ils auraient aimé qu’on joue la finale demain (10 février). On n’a pas été bons contre le Nigeria. On est déçus pour eux parce qu’on aurait aimé être à la place du Nigeria ou du Burkina Faso en finale. »
Patrice Carteron, sélectionneur du Mali :Seydou Keita, milieu de terrain malien :
« On est contents mais on n’éprouve pas la même joie que l’année dernière. On aurait vraiment voulu connaître autre chose que la 3e place. Mais les erreurs faites en demi-finale seront un mal pour bien. Ça permettra à l’entraîneur d’éviter qu’on les refasse. Le coach sait maintenant comment fonctionnent les joueurs. J’espère que Patrice (Carteron) va rester le plus longtemps possible pour construire une équipe compétitive. Il a compris beaucoup de chose et ça permettra au football malien d’aller beaucoup plus loin parce qu’on apprend de nos erreurs. Changer d’entraîneur tout le temps, ça ne sert à rien. Il faut qu’il reste là le plus longtemps possible. L’année dernière, on a aussi fini 3es et (Alain) Giresse est parti. J’aurais aimé qu’il reste. Parce que c’est avec la stabilité que les résultats arrivent. […] J’espère que les Maliens sont contents même s’ils auraient aimé qu’on joue la finale demain (10 février). On n’a pas été bons contre le Nigeria. On est déçus pour eux parce qu’on aurait aimé être à la place du Nigeria ou du Burkina Faso en finale. »
Patrice Carteron, sélectionneur du Mali :
« Cette 3e place, c’est extraordinaire. C’est bien d’arriver à se hisser sur le podium une deuxième année de suite, lors d’une compétition plus relevée qu'en 2012. Une nation comme le Cameroun ne s’est pas qualifiée, la Côte d’Ivoire a été éliminée en quarts de finale, la Zambie, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc n’ont pas franchi le premier tour… On réussit à se hisser jusqu’aux demi-finales, on a les ressources mentales pour aller chercher cette 3e place. Les joueurs ont été fantastiques. Il faut vraiment leur tirer un grand coup de chapeau. Malgré la déception, il voulait vraiment ramener une médaille au pays. C’est vraiment une belle génération. Terminer troisième deux fois de suite, ça n’était jamais arrivé au Mali. Les joueurs vont être bien accueillis au pays et c’est un bel exploit. »
Cheick Diabaté, attaquant malien :
« C’était important de gagner contre le Ghana, comme l’année dernière. On était venus pour essayer de gagner la coupe. Malheureusement, on n’a pas pu remporter le trophée. Mais il fallait rester mobilisés pour garder notre place. […] Ce qu’on vient de faire, c’est énorme. C’est du jamais vu avec le Mali. On a été troisièmes deux fois d’affilée. Ça veut dire qu’on a travaillé. Mais on a la possibilité de faire plus. »
Albert Adomah, milieu de terrain ghanéen :
« C’est dommage que nous n’ayons pas pu prendre cette 3e place, mais c’est la vie. Il faut se tourner vers la prochaine édition. On ne peut pas changer le passé. Heureusement, nous avons deux ans pour progresser encore. […] Nous étions dans la même position l’année passée et nous avons donc essayé de nous battre cette année. Mais comme l’année dernière, nous les avons battus en phase de groupes. Tout le monde a montré beaucoup de courage et de caractère durant ce match. »
Jonathan Mensah, défenseur ghanéen :
« Il n’y avait pas la motivation et la confiance parce qu’on a perdu en demi-finale. Tous les joueurs sont déçus parce qu’on espérait mieux que ça ne s’est pas passé comme on le voulait. »
Tous propos recueillis par notre envoyé spécial à Port Elizabeth,
« Cette 3e place, c’est extraordinaire. C’est bien d’arriver à se hisser sur le podium une deuxième année de suite, lors d’une compétition plus relevée qu'en 2012. Une nation comme le Cameroun ne s’est pas qualifiée, la Côte d’Ivoire a été éliminée en quarts de finale, la Zambie, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc n’ont pas franchi le premier tour… On réussit à se hisser jusqu’aux demi-finales, on a les ressources mentales pour aller chercher cette 3e place. Les joueurs ont été fantastiques. Il faut vraiment leur tirer un grand coup de chapeau. Malgré la déception, il voulait vraiment ramener une médaille au pays. C’est vraiment une belle génération. Terminer troisième deux fois de suite, ça n’était jamais arrivé au Mali. Les joueurs vont être bien accueillis au pays et c’est un bel exploit. »
Cheick Diabaté, attaquant malien :
« C’était important de gagner contre le Ghana, comme l’année dernière. On était venus pour essayer de gagner la coupe. Malheureusement, on n’a pas pu remporter le trophée. Mais il fallait rester mobilisés pour garder notre place. […] Ce qu’on vient de faire, c’est énorme. C’est du jamais vu avec le Mali. On a été troisièmes deux fois d’affilée. Ça veut dire qu’on a travaillé. Mais on a la possibilité de faire plus. »
Albert Adomah, milieu de terrain ghanéen :
« C’est dommage que nous n’ayons pas pu prendre cette 3e place, mais c’est la vie. Il faut se tourner vers la prochaine édition. On ne peut pas changer le passé. Heureusement, nous avons deux ans pour progresser encore. […] Nous étions dans la même position l’année passée et nous avons donc essayé de nous battre cette année. Mais comme l’année dernière, nous les avons battus en phase de groupes. Tout le monde a montré beaucoup de courage et de caractère durant ce match. »
Jonathan Mensah, défenseur ghanéen :
« Il n’y avait pas la motivation et la confiance parce qu’on a perdu en demi-finale. Tous les joueurs sont déçus parce qu’on espérait mieux que ça ne s’est pas passé comme on le voulait. »
Tous propos recueillis par notre envoyé spécial à Port Elizabeth,b[
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