Le CTIC Dakar a tenu une journée de l’entreprenariat sur les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) ce matin à la place du souvenir. Un « événement phare » organisé par l’équipe et les partenaires de l’incubateur CTIC Dakar pour « mettre en place le potentiel technologique et entrepreneurial du Sénégal et de l’Afrique de l’Ouest ». Les panels portant sur les thèmes, « Bâtir un écosystème pour un entreprenariat numérique » et « Quels modèles de start up pour l’Afrique de demain ».
Selon le Directeur Général de l’ADIE, Kassoum Wone, cette rencontre poursuit deux priorités à savoir, la jeunesse et l’emploi, les objectifs du président Macky Sall, « pour atteindre le potentiel de la croissance des Petites et Moyennes Entreprises (PME)».
Le ministre conseiller, Aziz Mbaye qui représente le gouvernement, a montré l’engagement de l’Etat à accompagner le CTIC Dakar afin d’« aider les jeunes créateurs d’emploi à innover ».
80% des PME disparaissent au bout de trois ans, selon Mabousso Thiam, DG de l’ADPME qui a profité de cette journée pour alerter sur l’environnement au Sénégal peu propice à la création d’entreprises. Pis, selon lui, «70% des sociétés du secteur de l’environnement au Sénégal vive dans l’informel».
Prévue du 16 au 17 mai, la rencontre se poursuit demain à travers d’autres ateliers et panels.
Selon le Directeur Général de l’ADIE, Kassoum Wone, cette rencontre poursuit deux priorités à savoir, la jeunesse et l’emploi, les objectifs du président Macky Sall, « pour atteindre le potentiel de la croissance des Petites et Moyennes Entreprises (PME)».
Le ministre conseiller, Aziz Mbaye qui représente le gouvernement, a montré l’engagement de l’Etat à accompagner le CTIC Dakar afin d’« aider les jeunes créateurs d’emploi à innover ».
80% des PME disparaissent au bout de trois ans, selon Mabousso Thiam, DG de l’ADPME qui a profité de cette journée pour alerter sur l’environnement au Sénégal peu propice à la création d’entreprises. Pis, selon lui, «70% des sociétés du secteur de l’environnement au Sénégal vive dans l’informel».
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