Les équipes du génie militaire et leurs engins venus en renfort de Yaoundé n'y ont rien changé. Ainsi samedi après une nouvelle journée de fouille, les recherches ont été définitivement interrompues.
Le bilan est donc toujours au 43 morts déclarés et 11 blessés. Un bilan qui, pour les riverains, ne saurait être exhaustif, convaincus qu'ils sont que plusieurs de leurs voisins dont le nombre n'est pas précisé manquent toujours à l'appel. Et donc, toujours sous les décombres de ce flanc de colline depuis cette nuit funeste du 28 octobre.
Dès mardi matin, les militaires vont s'employer à une nouvelle mission : détruire toutes les habitations encore restantes tout autour du lieu de la tragédie. Le recensement des habitants appelés à quitter les lieux est lui aussi déjà bouclé. Le décompte avoisine le millier de personnes, 986 précisément. Leur recasement présente cependant un nouveau défi, la zone allouée à cet effet par les pouvoirs publics étant toujours en cours d'aménagement.
Face à l'urgence, quelques généreux bienfaiteurs ont proposé leurs propriétés. Des hôtels en construction pour un total d'environ 140 chambres. Trop peu par rapport aux besoins, même si des solidarités de proximité se sont développées avec des familles qui ont accepté d'héberger provisoirement des personnes en détresse.
Le bilan est donc toujours au 43 morts déclarés et 11 blessés. Un bilan qui, pour les riverains, ne saurait être exhaustif, convaincus qu'ils sont que plusieurs de leurs voisins dont le nombre n'est pas précisé manquent toujours à l'appel. Et donc, toujours sous les décombres de ce flanc de colline depuis cette nuit funeste du 28 octobre.
Dès mardi matin, les militaires vont s'employer à une nouvelle mission : détruire toutes les habitations encore restantes tout autour du lieu de la tragédie. Le recensement des habitants appelés à quitter les lieux est lui aussi déjà bouclé. Le décompte avoisine le millier de personnes, 986 précisément. Leur recasement présente cependant un nouveau défi, la zone allouée à cet effet par les pouvoirs publics étant toujours en cours d'aménagement.
Face à l'urgence, quelques généreux bienfaiteurs ont proposé leurs propriétés. Des hôtels en construction pour un total d'environ 140 chambres. Trop peu par rapport aux besoins, même si des solidarités de proximité se sont développées avec des familles qui ont accepté d'héberger provisoirement des personnes en détresse.
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