
On pensait alors la situation apaisée et le conflit terminé au sein de la sélection camerounaise. Cette dernière aura d’ailleurs deux matches importants dans les jours à venir avec la réception du Cap-Vert le samedi 8 juin et un déplacement en Angola le mardi 11 juin. Deux pays qui sont à la lutte avec le Cameroun pour la qualification pour la Coupe du monde 2026 et contre qui les Lions Indomptables n’ont pas vraiment le droit à l’erreur. Le rassemblement est pourtant déjà en train de tourner au fiasco.
Les joueurs ont été accueillis hier, dimanche par deux staffs différents, celui de la fédération et celui du ministère des Sports. Les membres de la Fécafoot n’ont pas pu accéder aux chambres des joueurs, car les forces de l’ordre leur ont bloqué l’accès. La fédération n’a alors pas donné aux joueurs leur équipement. Un véritable imbroglio qui a donné le ton sur la situation, rapporte Footmercato.
Le sélectionneur Marc Brys a alors passé un sacré coup de gueule au micro de RIS Radio : «on n’a pas de ballons, on n’a pas de matériel, on n’a pas d’équipements. Est-ce que tu penses que le stage se passe bien ? Ça ne se passe pas bien. Déjà deux jours que c’est comme ça. C’est du jamais vu. Ça fait 26 ans que je suis dans cette profession et je n’ai jamais vu ça. On doit, pour le public, les habitants, les 30 millions de Camerounais, prouver que même s’il y a des gens qui veulent nous perturber, nous allons nous battre pour le pays.»
Une lutte interne qui pénalise totalement la sélection et qui prend en otage l’équipe du Cameroun. La fédération et le gouvernement camerounais vont vite devoir trouver un terrain d’entente s’ils ne veulent pas courir à la catastrophe.
Les joueurs ont été accueillis hier, dimanche par deux staffs différents, celui de la fédération et celui du ministère des Sports. Les membres de la Fécafoot n’ont pas pu accéder aux chambres des joueurs, car les forces de l’ordre leur ont bloqué l’accès. La fédération n’a alors pas donné aux joueurs leur équipement. Un véritable imbroglio qui a donné le ton sur la situation, rapporte Footmercato.
Le sélectionneur Marc Brys a alors passé un sacré coup de gueule au micro de RIS Radio : «on n’a pas de ballons, on n’a pas de matériel, on n’a pas d’équipements. Est-ce que tu penses que le stage se passe bien ? Ça ne se passe pas bien. Déjà deux jours que c’est comme ça. C’est du jamais vu. Ça fait 26 ans que je suis dans cette profession et je n’ai jamais vu ça. On doit, pour le public, les habitants, les 30 millions de Camerounais, prouver que même s’il y a des gens qui veulent nous perturber, nous allons nous battre pour le pays.»
Une lutte interne qui pénalise totalement la sélection et qui prend en otage l’équipe du Cameroun. La fédération et le gouvernement camerounais vont vite devoir trouver un terrain d’entente s’ils ne veulent pas courir à la catastrophe.
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