Le 9 juin, alors que la Cour suprême du Cameroun confirmait la condamnation de Lydienne Yen Eyoum à 25 ans de prison, le groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire a rendu un avis qui risque de faire du bruit au niveau diplomatique.
Il a estimé, suite aux informations transmises par la défense de l’avocate franco-camerounaise, que l’arrestation et la privation de liberté de Lydienne Yen Eyoum étaient « arbitraires ». Emprisonnée à la prison de Kondengui depuis janvier 2010, celle-ci avait été condamnée en septembre 2014 à 25 ans de détention pour détournement de fonds public.
Il a estimé, suite aux informations transmises par la défense de l’avocate franco-camerounaise, que l’arrestation et la privation de liberté de Lydienne Yen Eyoum étaient « arbitraires ». Emprisonnée à la prison de Kondengui depuis janvier 2010, celle-ci avait été condamnée en septembre 2014 à 25 ans de détention pour détournement de fonds public.
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