
En effet, depuis le garde à vue de ce dernier, au lendemain de la fusillade de Baobab qui s’est soldée par la mort de Ndiaga Diouf, un important dispositif sécuritaire rôde aux alentours du commissariat central où campent des camarades de Barthélémy Dias mais aussi des journalistes en souci d’information. De temps à temps, des querelles sommaires éclatent entre policiers qui s’évertuent à faire le ménage dans la zone et occupants qui tentent de résister.
Toutefois, cette tension électrique entre service d’ordre et assiégeants du commissariat central installe la violence en esquisse car la situation peut dégénérer à tout moment, surtout dans un contexte marqué par le tiraillement politique.
Toutefois, cette tension électrique entre service d’ordre et assiégeants du commissariat central installe la violence en esquisse car la situation peut dégénérer à tout moment, surtout dans un contexte marqué par le tiraillement politique.
Autres articles
-
Poste : des échanges entre le directeur et le Président Diomaye axés sur les défis et les solutions pour la boite
-
Suite à une rumeur concernant une tentative de suicide d'une étudiante : la Commission sociale des étudiants de l'UGB appelle à la responsabilité et à la solidarité
-
Lutte contre le trafic de faux billets : deux faussaires arrêtés à Keur Massar par la gendarmerie
-
Magal de Darou Mouhty : la délégation gouvernementale conduite par Balla Moussa Fofana
-
Grand rassemblement des forces syndicales : Les travailleurs du Sénégal ouvrent la foire à problèmes…