Mais pour le Directeur de l’Environnement et des Etablissements classés (DEEC) du Sénégal, les Africains ne devraient pas écarter l’atténuation. D’un autre côté, la position officielle du Groupe africain est de se focaliser sur le financement des mécanismes d’adaptation aux Changements climatiques.
Cheikh Ndiaye Sylla pense que cette « position est erronée et ne permet pas de capter toutes les possibilités de financement.
Le pays hôte (Afrique du Sud) qui abrite la 17ème Conférence des parties des Nations-Unies sur les Changements climatiques, veut « absolument décrocher un accord à Durban, contrairement à Copenhagen et à Cancùn ».
Une question pour le président Jacob Zuma de montrer à ses détracteurs l’efficacité de sa diplomatie. Et dans les couloirs, un texte d’accord circule entre certains partenaires, dont on espère qu’il obtiendra l’agrément de tous, en particulier des grands pays ou ensemble de pays, pollueurs, souligne le bulletin de l’Institut Panos.
Selon Dr Kamayé Maâzou, expert nigérien sur le Changement climatique, « il y a de fortes chances que la présente rencontre soit couronnée de succès en débouchant sur des textes consensuels avec la sud africaine qui assure la présidence de la conférence et qui est dotée d’une forte capacité de gestion des humeurs des uns et des autres ».
La 17ème Conférence des Nations-Unies sur le climat se tient depuis dimanche au Albert Luthuli International convention center (Icc) de Durban avec la participation des ministres africains.
Cheikh Ndiaye Sylla pense que cette « position est erronée et ne permet pas de capter toutes les possibilités de financement.
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Une question pour le président Jacob Zuma de montrer à ses détracteurs l’efficacité de sa diplomatie. Et dans les couloirs, un texte d’accord circule entre certains partenaires, dont on espère qu’il obtiendra l’agrément de tous, en particulier des grands pays ou ensemble de pays, pollueurs, souligne le bulletin de l’Institut Panos.
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