Nous poursuivons notre série de Grands Reportages consacrés à la crise qui sévit dans la région du Pool au Congo-Brazzaville. Crise née, en 2016, au lendemain de la réélection contestée du président Denis Sassou-Nguesso. Les forces de sécurité lançaient alors une vaste opération militaire pour arrêter Frédéric Bintsamou, plus connu sous le nom du Pasteur Ntumi, qui était accusé d'avoir attaqué Brazzaville avec ses hommes. Un an plus tard, il reste introuvable, mais la crise a fait un minimum de 20 000 déplacés.
La Fédération internationale des droits de l'homme dénonce une répression à huis clos, dans plusieurs districts de cette région historiquement hostile au président Sassou-Nguesso. Une crise qui pose de nombreuses questions.
S'agit-il d'une opération anti-terroriste ? comme le disent les autorités. Ou d'une «crise orchestrée par les autorités», dans une région historiquement frondeuse, comme le dénonce la FIDH ?
Florence Morice a mené l'enquête sur la base de nombreux témoignages de déplacés.
La Fédération internationale des droits de l'homme dénonce une répression à huis clos, dans plusieurs districts de cette région historiquement hostile au président Sassou-Nguesso. Une crise qui pose de nombreuses questions.
S'agit-il d'une opération anti-terroriste ? comme le disent les autorités. Ou d'une «crise orchestrée par les autorités», dans une région historiquement frondeuse, comme le dénonce la FIDH ?
Florence Morice a mené l'enquête sur la base de nombreux témoignages de déplacés.
Autres articles
-
Congo-Brazzaville: cinq jours sans électricité dans la capitale
-
Canicule en Guinée: «Il va falloir faire des choses concrètes»
-
Mali: la Cour constitutionnelle demande des comptes sur les émoluments des membres du CNT
-
Mali : la Cour constitutionnelle «incompétente» sur la suspension des activités des partis
-
Bénin: la Criet ouvre le procès de 42 personnes interpellées lors de l’élection présidentielle de 2021