A la descente de la Montagne sainte, dans le premier arrondissement, Garcia, un jeune de 30 ans qui tient un salon de coiffure, peine à faire de la recette. Les délestages l’empêchent de travailler et il ne peut pas non plus alimenter son groupe électrogène à cause d’une pénurie de « super ».
« Je suis coiffeur. Je travaille avec le courant mais actuellement, le courant n’est pas stable. Ce qui nous fait un peu mal, c’est que ce n’est pas facile de se procurer du carburant. On se promène partout pour essayer d’en avoir mais on n’en trouve pas et cela nous met en difficulté », explique-t-il.
A quelques encablures du salon de Garcia, à la station-service du CEG Angola-Libre, les automobilistes et notamment les chauffeurs taxi y passent plus de temps que dans la circulation. Ils sont à la merci des pompistes et des vendeurs à la sauvette communément appelés « kadhafis ».
« Je suis congolais. Cela me fait mal. Cela ne me fait pas plaisir de voir des choses pareilles. C’est un grand problème de kadhafis. Lorsqu’ils achètent du carburant, ils le revendent à 2 000 ou 1 500 francs CFA. Mais combien gagne un Congolais pour acheter l’essence à 1 500 francs CFA ? », s’insurge-t-il.
« Les pompistes te demandent parfois 3 000 francs CFA pour te faire un plein de carburant à 12 000 francs CFA ! », alerte, de son côté, un autre automobiliste.
Selon une source à la Société nationale des pétroles du Congo, cette pénurie serait due aux problèmes logistiques de transport des produits pétroliers entre Pointe-Noire et Brazzaville.
« Je suis coiffeur. Je travaille avec le courant mais actuellement, le courant n’est pas stable. Ce qui nous fait un peu mal, c’est que ce n’est pas facile de se procurer du carburant. On se promène partout pour essayer d’en avoir mais on n’en trouve pas et cela nous met en difficulté », explique-t-il.
A quelques encablures du salon de Garcia, à la station-service du CEG Angola-Libre, les automobilistes et notamment les chauffeurs taxi y passent plus de temps que dans la circulation. Ils sont à la merci des pompistes et des vendeurs à la sauvette communément appelés « kadhafis ».
« Je suis congolais. Cela me fait mal. Cela ne me fait pas plaisir de voir des choses pareilles. C’est un grand problème de kadhafis. Lorsqu’ils achètent du carburant, ils le revendent à 2 000 ou 1 500 francs CFA. Mais combien gagne un Congolais pour acheter l’essence à 1 500 francs CFA ? », s’insurge-t-il.
« Les pompistes te demandent parfois 3 000 francs CFA pour te faire un plein de carburant à 12 000 francs CFA ! », alerte, de son côté, un autre automobiliste.
Selon une source à la Société nationale des pétroles du Congo, cette pénurie serait due aux problèmes logistiques de transport des produits pétroliers entre Pointe-Noire et Brazzaville.
Autres articles
-
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique
-
Guinée: à Kindia, les citoyens espèrent le retour des libertés publiques après l'élection présidentielle
-
Mali: ouverture du sommet des chefs d’État de l'AES pour renforcer la coopération régionale
-
Centrafrique: les projets de cryptomonnaie ont surtout favorisé le crime organisé, selon un rapport
-
Congo-Brazzaville: le Premier ministre espère une levée du «travel ban» américain





Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique


