
La condamnation de l’ex-présidente, destituée l’année dernière dans un retentissant scandale de corruption, a été légèrement alourdie en appel.
La cour d’appel de Séoul a confirmé, vendredi 24 août, la condamnation de l’ancienne présidente Park Geun-hye, qui avait été destituée l’année dernière dans un retentissant scandale de corruption et d’abus de pouvoir, l’alourdissant même à 25 années de prison (contre 24 en première instance).
Première femme élue présidente en Corée du Sud, Mme Park, 66 ans, avait été arrêtée en mars 2017 pour toute une série d’accusations qui ont mis en lumière les accointances troubles entre le pouvoir politique et les grands conglomérats familiaux.
La chute de la présidente conservatrice, après des manifestations monstres dans tout le pays, a permis l’alternance. Son successeur, Moon Jae-in (centre-gauche), a contribué au spectaculaire rapprochement en cours entre les deux Corées.
La cour d’appel de Séoul a confirmé, vendredi 24 août, la condamnation de l’ancienne présidente Park Geun-hye, qui avait été destituée l’année dernière dans un retentissant scandale de corruption et d’abus de pouvoir, l’alourdissant même à 25 années de prison (contre 24 en première instance).
Première femme élue présidente en Corée du Sud, Mme Park, 66 ans, avait été arrêtée en mars 2017 pour toute une série d’accusations qui ont mis en lumière les accointances troubles entre le pouvoir politique et les grands conglomérats familiaux.
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