L'Afrique se protège contre le nouveau virus apparu en décembre en Chine. De la famille des coronavirus, cette maladie se manifeste par les symptômes de la grippe, pouvant aller jusqu'à des syndromes respiratoires sévères. À ce jour, 1 300 personnes ont été diagnostiquées en Chine et 41 patients en sont morts, selon le dernier bilan des autorités chinoises.
Quelques cas ont été détectés hors de Chine, notamment en France ou aux États-Unis, mais aucun cas n'a été signalé en Afrique où des mesures de surveillance et de prévention ont été mises en place.
Ainsi, tous les aéroports internationaux d'Afrique où atterrissent des vols en provenance de Chine ont été placés sous surveillance cette semaine. Au Kenya, en Éthiopie, en Afrique du Sud, au Ghana, au Sénégal et ailleurs, comme partout dans le monde, les débarquements sont encadrés, conformément aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Des salles de quarantaine sont prévues pour les cas suspects et des hôpitaux sont préparés pour recevoir d'éventuels patients.
À l'aéroport de Lagos, au Nigeria, comme à l'aéroport de Nairobi, au Kenya, les passagers en provenance d'Asie sont questionnés sur leurs déplacements, leurs rencontres avec des personnes qui auraient pu être exposées à la maladie ou encore sur leurs symptômes éventuels.
A l'aéroport Bole, d'Addis-Abeba, en Éthiopie, tout le monde est « screené », c'est-à-dire que l’on prend la température des gens qui débarquent.
Quelques cas ont été détectés hors de Chine, notamment en France ou aux États-Unis, mais aucun cas n'a été signalé en Afrique où des mesures de surveillance et de prévention ont été mises en place.
Ainsi, tous les aéroports internationaux d'Afrique où atterrissent des vols en provenance de Chine ont été placés sous surveillance cette semaine. Au Kenya, en Éthiopie, en Afrique du Sud, au Ghana, au Sénégal et ailleurs, comme partout dans le monde, les débarquements sont encadrés, conformément aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Des salles de quarantaine sont prévues pour les cas suspects et des hôpitaux sont préparés pour recevoir d'éventuels patients.
À l'aéroport de Lagos, au Nigeria, comme à l'aéroport de Nairobi, au Kenya, les passagers en provenance d'Asie sont questionnés sur leurs déplacements, leurs rencontres avec des personnes qui auraient pu être exposées à la maladie ou encore sur leurs symptômes éventuels.
A l'aéroport Bole, d'Addis-Abeba, en Éthiopie, tout le monde est « screené », c'est-à-dire que l’on prend la température des gens qui débarquent.
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