
L'opposant Henri Konan Bédié a annoncé la suspension de du dialogue entamé avec le prédisent Alassane Ouattara. Il a exigé la libération de tous leurs militants, tous les cadres incarcérés par le régime durant la présidentielle du 31 octobre.
« Nous avons engagé le combat, à la demande de toutes les forces vives de l'opposition et de la société́ civile. Nous déplorons les morts, les blessés qui ont subi la répression brutale du régime au pouvoir. (Aujourd'hui) le 21, nous organisons dans toute la Côte d'Ivoire des cérémonies pour l'enterrement de nos martyrs », lit-on dans un communiqué.
A cette occasion, Bédié dit avoir demandé que tout le pays, à partir de midi, observe une minute de silence à la mémoire de ceux qui sont tombés. « La lutte continue et continuera grâce à vos soutiens. Le dialogue qui s’était amorcé à l'Hôtel du Golf, vous en avez entendu parler. Depuis quelques jours vous n'entendez plus rien, pour des raisons précises».
Bédié de dire qu'il n'est en effet pas possible de continuer ce dialogue sans la libération de tous leurs militants, tous les cadres incarcérés. Il n'est pas possible de continuer ce dialogue sans la levée du blocus qui assiège encore quelques uns d'entre eux comme Hubert Oulaye, selon lui.
« J'ai donc suspendu ce dialogue, jusqu'à ce que nos frères soient libérés. J'ai suspendu également ce dialogue jusqu'à ce que ceux qui ont été forcés de fuir à l'étranger opèrent un retour sécurisé chez nous. Ce sont là des préalables non négociables et je pense bien que, dans quelques jours, ces différentes libérations seront faites pour que nous puissions reprendre le dialogue (...)», a fait savoir Henri Konan Bédié.
« Nous avons engagé le combat, à la demande de toutes les forces vives de l'opposition et de la société́ civile. Nous déplorons les morts, les blessés qui ont subi la répression brutale du régime au pouvoir. (Aujourd'hui) le 21, nous organisons dans toute la Côte d'Ivoire des cérémonies pour l'enterrement de nos martyrs », lit-on dans un communiqué.
A cette occasion, Bédié dit avoir demandé que tout le pays, à partir de midi, observe une minute de silence à la mémoire de ceux qui sont tombés. « La lutte continue et continuera grâce à vos soutiens. Le dialogue qui s’était amorcé à l'Hôtel du Golf, vous en avez entendu parler. Depuis quelques jours vous n'entendez plus rien, pour des raisons précises».
Bédié de dire qu'il n'est en effet pas possible de continuer ce dialogue sans la libération de tous leurs militants, tous les cadres incarcérés. Il n'est pas possible de continuer ce dialogue sans la levée du blocus qui assiège encore quelques uns d'entre eux comme Hubert Oulaye, selon lui.
« J'ai donc suspendu ce dialogue, jusqu'à ce que nos frères soient libérés. J'ai suspendu également ce dialogue jusqu'à ce que ceux qui ont été forcés de fuir à l'étranger opèrent un retour sécurisé chez nous. Ce sont là des préalables non négociables et je pense bien que, dans quelques jours, ces différentes libérations seront faites pour que nous puissions reprendre le dialogue (...)», a fait savoir Henri Konan Bédié.
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