Le président de l’Assemblée nationale pourrait alors s'expliquer sur ce sujet ainsi que sur celui des écoutes téléphoniques au Burkina Faso, authentifiées par les autorités burkinabé, lors de la session de clôture du parlement le 18 décembre prochain.
« Le 18 décembre à l’occasion de la clôture de la session ordinaire, je prononcerai un important discours et j’évoquerai toutes les questions », a promis l’ex locataire de la primature.
Guillaume Soro est sous le feu des projecteurs après les écoutes téléphoniques attribuées à lui même, Djibril Bassolé et Gilbert Dienderé, lors du coup d’Etat manqué au Burkina Faso en septembre dernier, et le mandat d’amener lancé contre lui par la justice Française, suite à la plainte de Michel Gbagbo pour traitement inhumain lors de sa détention en 2011.
Les écoutes dévoilées au grand jour par voie de presse qui font apparaitre le président de l'Assemblée nationale ivoirienne comme un "planificateur" du coup d'Etat manqué, ont depuis lors été authentifiées par Ouagadougou (Premier ministre Zida, ndlr) et le mandat d'amener n'a pas été officiellement levé par la justice française contrairement à l'annonce en ce sens de la défense de Soro.
Pour la justice française ce dernier a été émis lundi alors que Guillaume Soro était en séjour privé en France et non dans un cadre d'une mission officielle qui lui aurait alors permit de jouir d'une immunité diplomatique.
Une fois le mandat délivré en sa résidence française, située en banlieue parisienne, est apparu un "ordre de mission officielle" en rapport avec la Cop 21 qui lui permit alors de bénéficier d'une immunité diplomatique pour rentrer précipitamment en Côte d'Ivoire via un aéroport secondaire (Bourget, ndlr) et un avion envoyé spécialement pour ce faire.
Tous les regards restent désormais tournés sur la date annoncée par l’ex chef rebelle pour enfin éclairer l’opinion nationale et internationale sur ces deux affaires.
source:koaci.com
« Le 18 décembre à l’occasion de la clôture de la session ordinaire, je prononcerai un important discours et j’évoquerai toutes les questions », a promis l’ex locataire de la primature.
Guillaume Soro est sous le feu des projecteurs après les écoutes téléphoniques attribuées à lui même, Djibril Bassolé et Gilbert Dienderé, lors du coup d’Etat manqué au Burkina Faso en septembre dernier, et le mandat d’amener lancé contre lui par la justice Française, suite à la plainte de Michel Gbagbo pour traitement inhumain lors de sa détention en 2011.
Les écoutes dévoilées au grand jour par voie de presse qui font apparaitre le président de l'Assemblée nationale ivoirienne comme un "planificateur" du coup d'Etat manqué, ont depuis lors été authentifiées par Ouagadougou (Premier ministre Zida, ndlr) et le mandat d'amener n'a pas été officiellement levé par la justice française contrairement à l'annonce en ce sens de la défense de Soro.
Pour la justice française ce dernier a été émis lundi alors que Guillaume Soro était en séjour privé en France et non dans un cadre d'une mission officielle qui lui aurait alors permit de jouir d'une immunité diplomatique.
Une fois le mandat délivré en sa résidence française, située en banlieue parisienne, est apparu un "ordre de mission officielle" en rapport avec la Cop 21 qui lui permit alors de bénéficier d'une immunité diplomatique pour rentrer précipitamment en Côte d'Ivoire via un aéroport secondaire (Bourget, ndlr) et un avion envoyé spécialement pour ce faire.
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source:koaci.com
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