« C'est vrai qu'à travers Soul to Soul c'est Guillaume Soro que l'on veut atteindre ». C'est ce qu'a déclaré face à la presse ce vendredi Pascal Affi N'Guessan, reprenant à son compte les accusations des partisans du président de l'Assemblée nationale.
Et l'ex-Premier ministre de Laurent Gbagbo a dressé un constat, selon lui alarmiste de la situation au sommet de l'Etat : « Tout le monde savait qu'il allait y avoir une escalade. Ce que nous ne savons pas c'est quel sera le palier suivant. Sinon on sait qu'il y a une crise au sommet de l'Etat et autour de l'échéance de 2020. La guéguerre au sommet de l'Etat jette un gros nuage sur l'avenir de la Côte d'Ivoire et en particulier sur les élections présidentielles de 2020. »
Pascal Affi N'Guessan a aussi réagi à l'enquête du journal en ligne Mediapart qui, documents à l'appui, semble révéler que la Cour pénale internationale a été soumise à des pressions politiques de la diplomatie française et d'Alassane Ouattara pour transférer l'ex-président Laurent Gbagbo à La Haye au lendemain de la crise post-électorale en 2011. Une enquête qui, selon l'opposant, prouve que la procédure judiciaire a été « viciée » : « Si la CPI continue de poursuivre le président Laurent Gbagbo cela signifie que la CPI veut se rendre complice du complot politique contre le président Laurent Gbagbo. Donc la CPI a le devoir de se dessaisir de ce dossier et doit procéder purement et simplement à la libération de Laurent Gbagbo ».
Lors de ce point presse, Pascal Affi N'Guessan a aussi une nouvelle fois appelé les membres de sa formation politique à l'unité. Sans toutefois donner plus de détails sur le processus de rapprochement.
Et l'ex-Premier ministre de Laurent Gbagbo a dressé un constat, selon lui alarmiste de la situation au sommet de l'Etat : « Tout le monde savait qu'il allait y avoir une escalade. Ce que nous ne savons pas c'est quel sera le palier suivant. Sinon on sait qu'il y a une crise au sommet de l'Etat et autour de l'échéance de 2020. La guéguerre au sommet de l'Etat jette un gros nuage sur l'avenir de la Côte d'Ivoire et en particulier sur les élections présidentielles de 2020. »
Pascal Affi N'Guessan a aussi réagi à l'enquête du journal en ligne Mediapart qui, documents à l'appui, semble révéler que la Cour pénale internationale a été soumise à des pressions politiques de la diplomatie française et d'Alassane Ouattara pour transférer l'ex-président Laurent Gbagbo à La Haye au lendemain de la crise post-électorale en 2011. Une enquête qui, selon l'opposant, prouve que la procédure judiciaire a été « viciée » : « Si la CPI continue de poursuivre le président Laurent Gbagbo cela signifie que la CPI veut se rendre complice du complot politique contre le président Laurent Gbagbo. Donc la CPI a le devoir de se dessaisir de ce dossier et doit procéder purement et simplement à la libération de Laurent Gbagbo ».
Lors de ce point presse, Pascal Affi N'Guessan a aussi une nouvelle fois appelé les membres de sa formation politique à l'unité. Sans toutefois donner plus de détails sur le processus de rapprochement.
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