Si les entreprises minières et textiles ont su rebondir depuis quelques mois, la reprise reste incertaine pour la plupart des secteurs de l'économie malgache, notamment ceux de l'agriculture et du tourisme.
La réouverture des frontières de la Grande Île, annoncée, mercredi 13 octobre, par le gouvernement, est un symbole fort, estime Thierry Rajaona, président du GEM, le Groupement des Entreprises de Madagascar : « Le fait d'ouvrir les frontières permettra aux opérateurs économiques de ce pays et de l'étranger de circuler davantage pour rencontrer leurs clients, leurs fournisseurs, pour permettre aux investisseurs étrangers de venir voir sur place comment cela se passe. Le tourisme d'affaires va peut-être s'améliorer mais un retour à la normale de l'activité touristique n'est certainement pas pour demain, pas pour 2022, au plus tôt : 2023. »
Les entrepreneurs demandent au gouvernement malgache une stratégie concrète de relance économique à court terme et à moyen terme : « Il est important que le gouvernement comprenne que la situation économique du pays et des entreprises en particulier est difficile. Nous avons des rencontres avec les différents ministres, le président de la République mais nous sommes toujours dans l'attente d'un vrai dialogue qui aboutisse à de vrais plans d'action partagés et qui nous restituent dans un degré de confiance suffisamment fort pour nous convaincre d'investir davantage dans une économie qui en a bien besoin. Nous sommes en ce moment dans une situation d'expectative et d'incertitude. Nous voulons savoir où est-ce que nous voulons aller, quels objectifs stratégiques économiques nous voulons obtenir. Nous avons des propositions très fortes et donc nous voudrions, qu'à travers ce dialogue entre le secteur public et le secteur privé, nous partagions ces mêmes objectifs qui sont dans l'intérêt de la population et qui permettent de réduire de façon significative et dans un délai rapide le taux de pauvreté qui est de 80% aujourd'hui. »
Parmi les mesures proposées par le GEM, figure un soutien à l'investissement local et étranger sous la forme d'incitations fiscales et de facilitation de procédures dans la création et le financement d'entreprises.
La réouverture des frontières de la Grande Île, annoncée, mercredi 13 octobre, par le gouvernement, est un symbole fort, estime Thierry Rajaona, président du GEM, le Groupement des Entreprises de Madagascar : « Le fait d'ouvrir les frontières permettra aux opérateurs économiques de ce pays et de l'étranger de circuler davantage pour rencontrer leurs clients, leurs fournisseurs, pour permettre aux investisseurs étrangers de venir voir sur place comment cela se passe. Le tourisme d'affaires va peut-être s'améliorer mais un retour à la normale de l'activité touristique n'est certainement pas pour demain, pas pour 2022, au plus tôt : 2023. »
Les entrepreneurs demandent au gouvernement malgache une stratégie concrète de relance économique à court terme et à moyen terme : « Il est important que le gouvernement comprenne que la situation économique du pays et des entreprises en particulier est difficile. Nous avons des rencontres avec les différents ministres, le président de la République mais nous sommes toujours dans l'attente d'un vrai dialogue qui aboutisse à de vrais plans d'action partagés et qui nous restituent dans un degré de confiance suffisamment fort pour nous convaincre d'investir davantage dans une économie qui en a bien besoin. Nous sommes en ce moment dans une situation d'expectative et d'incertitude. Nous voulons savoir où est-ce que nous voulons aller, quels objectifs stratégiques économiques nous voulons obtenir. Nous avons des propositions très fortes et donc nous voudrions, qu'à travers ce dialogue entre le secteur public et le secteur privé, nous partagions ces mêmes objectifs qui sont dans l'intérêt de la population et qui permettent de réduire de façon significative et dans un délai rapide le taux de pauvreté qui est de 80% aujourd'hui. »
Parmi les mesures proposées par le GEM, figure un soutien à l'investissement local et étranger sous la forme d'incitations fiscales et de facilitation de procédures dans la création et le financement d'entreprises.
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