Réunis dimanche 6 septembre à Alger, les trois ministres – Abdelkader Messahel pour l’Algérie, Kane Aichatou Boulama pour le Niger et le Tchadien Moussa Faki Mahamat – « ont réitéré l’urgence d’une solution politique de nature à préserver l’unité et l’intégrité territoriale de la Libye et la cohésion de son peuple à travers la mise en place d’un gouvernement d’union nationale, en mesure de relever, avec l’aide de la communauté internationale, les nombreux défis auxquels fait face ce pays ».
Vendredi, au lendemain de la reprise des négociations entre les parties à Genève, l’émissaire de l’ONU, Bernardino Leon, avait estimé qu’un accord en vue de la formation d’un gouvernement d’union nationale en Libye pourrait être atteint « dans les jours à venir ». Les Nations unies espèrent aboutir à un accord global vers le 20 septembre afin qu’il puisse être mis en oeuvre un mois plus tard.
« Anéantir » Boko Haram
Lors de leur rencontre, Alger, N’Djamena et Niamey ont par ailleurs exprimé leur « solidarité » avec les États qui luttent contre « le groupe terroriste Boko Haram ».
Les trois pays ont « plaidé pour le renforcement de l’action que mène la Force multinationale mixte (FMM) pour anéantir cette organisation criminelle » et ont « lancé un appel à la communauté internationale pour fournir un soutien actif et multiforme aux pays qui mènent cette lutte ».
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