La Direction de la Promotion de la Bonne Gouvernance, en collaboration avec la Plateforme de Protection des Lanceurs d'Alertes en Afrique (PPLAAF), a organisé, ce jeudi un atelier de sensibilisation et de formation sur la protection des lanceurs d'alerte et l'accès à l'information. Ce dans le but de garantir "la transparence et l'intégrité des institutions publiques."
Prenant la parole lors de la rencontre, Alassane Gueye Directeur de la DPBG a affirmé que l'objectif est de faire en sorte que la population puisse avoir un environnement sécurisé pour alerter. « Une loi relative à la protection des lanceurs d'alerte sera une avancée significative et une opportunité majeure pour garantir la protection des lanceurs d'alerte et encourager davantage les citoyens à rapporter les actes répréhensibles. Mais aussi à leur fournir un environnement sécurisé pour ceux qui souhaitent parler. De ce fait, il faut sensibiliser les acteurs sur le rôle des lanceurs d'alerte dans la réforme de la corruption et la promotion de la bonne gouvernance », a-t-il indiqué.
Poursuivant, M. Gueye a souligné que cet atelier permettra « de mettre en lumière une question cruciale, le pourquoi, les citoyens sont souvent confrontés à des situations difficiles et risquées, mais souhaitent briser le silence pour dénoncer des actes illégaux. Ils agissent pour le bien commun au péril de leur sécurité. Ces personnes et professionnels et est donc de notre devoir de leur offrir la protection qu'ils méritent ».
Pour sa part, Jimmy Kandé, le Directeur Afrique de l’Ouest de PPLAAF est revenu le rôle des lanceurs d’alertes. « Un lanceur d'alerte, c'est toute personne qui travaille dans une entreprise publique ou privée, qui est témoin des activités illégales, illicites, au contraire à l'intérêt général, qu'il décide de dénoncer dans le but de pouvoir y mettre fin. Donc, ce n'est pas toute personne qui va prendre la parole pour parler d'une activité illicite qui est lanceur d'alerte, mais il s'agit là, d'un cadre qui est professionnel, que cela soit dans le secteur public ou privé. Ils jouent un rôle très important, notamment dans la lutte contre la corruption, parce que les lanceurs d'alerte sont généralement témoins des faits… Donc, il est important que ces derniers puissent être protégés », a expliqué M.Kandé.
Ce dernier a soutenu que beaucoup de citoyens travaillant dans une organisation ou une entreprise sont témoins d'activités. Parlant d’un cas célèbre, il a cité l’affaire de l'actuel Premier ministre lorsqu'il travaillait encore à la direction des impôts et des domaines. Celui-ci avait révélé un certain nombre d'irrégularités dans son travail. « C’est l’exemple parfait où quelqu'un qui travaillait dans une institution a pu révéler les malversations qui existaient. Mais cet acte doit être encadré. Voilà pourquoi aujourd'hui, nous sommes réunis dans cet atelier pour appeler à l'élaboration d'une loi de protection des lanceurs d'alerte qui va encadrer », a-t-il conclu.
Prenant la parole lors de la rencontre, Alassane Gueye Directeur de la DPBG a affirmé que l'objectif est de faire en sorte que la population puisse avoir un environnement sécurisé pour alerter. « Une loi relative à la protection des lanceurs d'alerte sera une avancée significative et une opportunité majeure pour garantir la protection des lanceurs d'alerte et encourager davantage les citoyens à rapporter les actes répréhensibles. Mais aussi à leur fournir un environnement sécurisé pour ceux qui souhaitent parler. De ce fait, il faut sensibiliser les acteurs sur le rôle des lanceurs d'alerte dans la réforme de la corruption et la promotion de la bonne gouvernance », a-t-il indiqué.
Poursuivant, M. Gueye a souligné que cet atelier permettra « de mettre en lumière une question cruciale, le pourquoi, les citoyens sont souvent confrontés à des situations difficiles et risquées, mais souhaitent briser le silence pour dénoncer des actes illégaux. Ils agissent pour le bien commun au péril de leur sécurité. Ces personnes et professionnels et est donc de notre devoir de leur offrir la protection qu'ils méritent ».
Pour sa part, Jimmy Kandé, le Directeur Afrique de l’Ouest de PPLAAF est revenu le rôle des lanceurs d’alertes. « Un lanceur d'alerte, c'est toute personne qui travaille dans une entreprise publique ou privée, qui est témoin des activités illégales, illicites, au contraire à l'intérêt général, qu'il décide de dénoncer dans le but de pouvoir y mettre fin. Donc, ce n'est pas toute personne qui va prendre la parole pour parler d'une activité illicite qui est lanceur d'alerte, mais il s'agit là, d'un cadre qui est professionnel, que cela soit dans le secteur public ou privé. Ils jouent un rôle très important, notamment dans la lutte contre la corruption, parce que les lanceurs d'alerte sont généralement témoins des faits… Donc, il est important que ces derniers puissent être protégés », a expliqué M.Kandé.
Ce dernier a soutenu que beaucoup de citoyens travaillant dans une organisation ou une entreprise sont témoins d'activités. Parlant d’un cas célèbre, il a cité l’affaire de l'actuel Premier ministre lorsqu'il travaillait encore à la direction des impôts et des domaines. Celui-ci avait révélé un certain nombre d'irrégularités dans son travail. « C’est l’exemple parfait où quelqu'un qui travaillait dans une institution a pu révéler les malversations qui existaient. Mais cet acte doit être encadré. Voilà pourquoi aujourd'hui, nous sommes réunis dans cet atelier pour appeler à l'élaboration d'une loi de protection des lanceurs d'alerte qui va encadrer », a-t-il conclu.
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