Considéré comme la troisième révolution de l’humanité après l’imprimerie, Le numérique et ses risques sont au cœur des débats. Sur ce, les avocats à travers le groupe (DS Avocats) basé à Paris se sont invités au combat en créant une Association Francophone de Prévention des Risques Numériques (AFPR). Et, selon leur Président, Maître Daniel Chausse, « le numérique est un domaine transversal, c’est-à-dire qu’il est au centre des préoccupations et des programmes de la Francophonie».
Au Sénégal, les autorités ont une claire conscience du potentiel du numérique mais aussi ces méfaits. C’est ainsi qu’un programme national très ambitieux dénommé «Sénégal numérique 2025» est mis en place. Dans ce document stratégique, a relevé le Directeur de Cabinet du Ministère des Télécommunications et des Postes, un volet sur la «confiance numérique» est bien développé pour éviter de dire «risques numériques».
Malick Ndiaye a précisé que le Sénégal a connu des avancées les deux (2) dernières années sur la question des risques numériques en signant deux conventions. La première porte sur la lutte contre la cybercriminalité avec la convention de (Malabo) dans laquelle, il est exigé de renforcer les peines sur les personnes qui ont commis une infraction critique. Et la seconde porte sur la ratification de la Convention 108 (ou extra-territorialisation des données) que l’on appelle communément Convention de Budapest».
Pour sa part, Ndiougou Ndiaye, Directeur de cabinet du ministre de la Promotion des investissements, des Partenariats et du développement des télé-services, a axé son intervention sur la sensibilisation car à l’en croire « les risques numériques se placent au dessus des risques nucléaires. Il faut donc mettre l’accent sur les mesures de sensibilisation ».
M. Mageye Touré, correspondant de l’OIF, et directeur de la Francophonie, a fait un bref exposé de la stratégie numérique de la Francophonie qui a été adoptée en 2002.
Au Sénégal, les autorités ont une claire conscience du potentiel du numérique mais aussi ces méfaits. C’est ainsi qu’un programme national très ambitieux dénommé «Sénégal numérique 2025» est mis en place. Dans ce document stratégique, a relevé le Directeur de Cabinet du Ministère des Télécommunications et des Postes, un volet sur la «confiance numérique» est bien développé pour éviter de dire «risques numériques».
Malick Ndiaye a précisé que le Sénégal a connu des avancées les deux (2) dernières années sur la question des risques numériques en signant deux conventions. La première porte sur la lutte contre la cybercriminalité avec la convention de (Malabo) dans laquelle, il est exigé de renforcer les peines sur les personnes qui ont commis une infraction critique. Et la seconde porte sur la ratification de la Convention 108 (ou extra-territorialisation des données) que l’on appelle communément Convention de Budapest».
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