Le Parti de l’indépendance et du travail (Pit) déclare, dans un communiqué daté du 15 décembre, que « chaque jour qui passe révèle encore plus l’ampleur du désastre qu’ Abdoulaye Wade, par sa gouvernance, dissémine, installant par là – même une inquiétude de plus en plus grande quant au sort du Sénégal ». Et pour les camarades d’Amath Dansokho, ce désastre « n’épargne plus rien ni personne pas même les ressorts fondamentaux ayant permis au Sénégal, en dépit des difficultés et des embûches inévitables, de maintenir le commun vouloir de vie commune ».
Ils soutiennent que Me Abdoulaye Wade s’est « attaqué frontalement au clergé dans le même temps qu’il s’en prend aux Imams ». Son Ministre de l’Intérieur, disent-ils, « menace les journalistes et s’emploie à vider le Code Electoral sénégalais d’acquis substantiels ayant permis – malgré tout – de procéder, depuis plus d’une décennie, à des compétitions électorales globalement apaisées ».
Pour le Pit, ce comportement est d’autant plus significatif que le Gouvernement de Wade, « tout en persistant à saboter la campagne de commercialisation des arachides, replonge le pays dans les affres des coupures d’électricité et d’eau ».
Les camarades d’Amath Dansokho soutiennent que les « Sénégalais au quotidien font face à l’abandon par le pouvoir des populations des zones inondées et au renchérissement des prix des denrées de première nécessité en même temps que la plupart d’entre eux surtout les jeunes peinent de plus en plus à trouver du travail… ». Et d’ajouter : « Wade et son camp, alors qu’ils ont fini de révéler à tous leur incurie et leur insouciance, manifestent par mille signaux qu’ils sont décidés à rester à la tête de l’Etat contre la volonté de l’écrasante majorité des citoyens et pour cela d’imposer un simulacre d’élection et même par anticipation ».
Pour le Secrétariat du Pit.-Sénégal, « ce sont ces éléments et d’autres (telle cette violence inouïe exercée sur des manifestants sénégalais à Paris par la garde rapprochée de Wade.) qui commandent à toutes les forces vives du pays, en premier lieu à Benno Siggil Senegaal et par-delà à tous les Sénégalais lucides, de se mobiliser, de serrer les rangs, de prendre les initiatives appropriées pour arrêter la machine infernale ».
Les camarades d’Amath Dansokho déclarent que « le Sénégal joue son destin. De l’intelligence ,de la détermination et du rassemblement de ses fils dans tous les secteurs y compris syndicaux dépendent la résistance ferme contre sa politique néfaste pour tous les travailleurs ainsi que l’éviction du chaos et le refus de l’instauration, dans la durée, du règne de l’abus et de la médiocrité ».
C’est pourquoi ils estiment que dans « ce cadre, le débat en cours au sein de Benno Siggil Senegaal sur les perspectives électorales est d’une extrême importance. Il ne s’agit ni plus ni moins que de démontrer aux Sénégalais que cette coalition est déterminée à leur offrir une perspective salutaire pour, avec eux et tel que préconisé par les Assises Nationale, ramener le pays sur la voie de l’Etat de droit, de la paix civile, de la stabilité et du travail ». Et le Pit en ce qui le concerne, « conformément à une tradition que tous lui reconnaissent, s’engage à faire tout ce qui dépend de lui pour qu’il n’en soit pas autrement ».
Au chapitre de la vie du parti, les dirigeants et militants du Pit, dans différentes coordinations, « s’attèlent au renforcement des structures et au travail d’encadrement et de formation notamment à travers un cycle de conférences publiques ». C’est pourquoi le Secrétariat « engage tous les camarades à maintenir fermement le cap tout en continuant à intervenir sur le terrain politique autour du mot d’ordre du Parti : l’exigence du départ d’Abdoulaye Wade de la tête du pays ».
Ils soutiennent que Me Abdoulaye Wade s’est « attaqué frontalement au clergé dans le même temps qu’il s’en prend aux Imams ». Son Ministre de l’Intérieur, disent-ils, « menace les journalistes et s’emploie à vider le Code Electoral sénégalais d’acquis substantiels ayant permis – malgré tout – de procéder, depuis plus d’une décennie, à des compétitions électorales globalement apaisées ».
Pour le Pit, ce comportement est d’autant plus significatif que le Gouvernement de Wade, « tout en persistant à saboter la campagne de commercialisation des arachides, replonge le pays dans les affres des coupures d’électricité et d’eau ».
Les camarades d’Amath Dansokho soutiennent que les « Sénégalais au quotidien font face à l’abandon par le pouvoir des populations des zones inondées et au renchérissement des prix des denrées de première nécessité en même temps que la plupart d’entre eux surtout les jeunes peinent de plus en plus à trouver du travail… ». Et d’ajouter : « Wade et son camp, alors qu’ils ont fini de révéler à tous leur incurie et leur insouciance, manifestent par mille signaux qu’ils sont décidés à rester à la tête de l’Etat contre la volonté de l’écrasante majorité des citoyens et pour cela d’imposer un simulacre d’élection et même par anticipation ».
Pour le Secrétariat du Pit.-Sénégal, « ce sont ces éléments et d’autres (telle cette violence inouïe exercée sur des manifestants sénégalais à Paris par la garde rapprochée de Wade.) qui commandent à toutes les forces vives du pays, en premier lieu à Benno Siggil Senegaal et par-delà à tous les Sénégalais lucides, de se mobiliser, de serrer les rangs, de prendre les initiatives appropriées pour arrêter la machine infernale ».
Les camarades d’Amath Dansokho déclarent que « le Sénégal joue son destin. De l’intelligence ,de la détermination et du rassemblement de ses fils dans tous les secteurs y compris syndicaux dépendent la résistance ferme contre sa politique néfaste pour tous les travailleurs ainsi que l’éviction du chaos et le refus de l’instauration, dans la durée, du règne de l’abus et de la médiocrité ».
C’est pourquoi ils estiment que dans « ce cadre, le débat en cours au sein de Benno Siggil Senegaal sur les perspectives électorales est d’une extrême importance. Il ne s’agit ni plus ni moins que de démontrer aux Sénégalais que cette coalition est déterminée à leur offrir une perspective salutaire pour, avec eux et tel que préconisé par les Assises Nationale, ramener le pays sur la voie de l’Etat de droit, de la paix civile, de la stabilité et du travail ». Et le Pit en ce qui le concerne, « conformément à une tradition que tous lui reconnaissent, s’engage à faire tout ce qui dépend de lui pour qu’il n’en soit pas autrement ».
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