L’Observatoire Nationale des Lieux de Privation de Liberté (ONLPL) du Sénégal plaide pour l’application des peines alternatives. Préoccupé par les conditions des détenus, Josette Marceline Ndiaye Lopez sensibilise les Magistrats de la zone centre. Pour lutter contre le surpeuplement dans les prisons, ces derniers sont invités « à ne pas toujours envoyer les délinquants en prison ».
« Nous essayons de trouver des solutions à cette détention qui est très pénible (et) due à la surpopulation dans les prisons. Donc, nous cherchons des solutions pour ne pas que les magistrats envoient systématiquement les délinquants en prison », explique-t-elle. Avant de poursuivre : « Il y avait des dispositifs juridiques qui ont été installés pour permettre de ne pas toujours envoyé les délinquants en prison. C’est ce qu’on appelle les peines alternatives, des aménagements de peines. C’est-à-dire que ce sont des solutions pour éviter justement l’incarcération ».
Pour Saliou Ndiaye, président du Tribunal de Grande instance de Fatick, « c’est l’occasion pour que tout le monde soit au même niveau d’information. Ce sera l’occasion de susciter la réflexion de part et d’autre, voir quels sont les obstacles parce qu’aujourd’hui, on se rend compte qu’il y a une surpopulation au niveau des Maisons d’Arrêt et de Correction (MAC) ».
La rencontre de Kaolack était souhaitée pour parvenir à mettre en place des dispositifs afin de veiller à l’application de peines alternatives. Il est attendu des deux (2) jours d’échanges avec les magistrats, des recommandations qui vont aider à faire de la peine d’emprisonnement une sanction utile pour le condamné dans le perspective de sa réinsertion tout en lui garantissant des conditions de détention dignes, relaie le correspondant de Radio Sénégal.
« Nous essayons de trouver des solutions à cette détention qui est très pénible (et) due à la surpopulation dans les prisons. Donc, nous cherchons des solutions pour ne pas que les magistrats envoient systématiquement les délinquants en prison », explique-t-elle. Avant de poursuivre : « Il y avait des dispositifs juridiques qui ont été installés pour permettre de ne pas toujours envoyé les délinquants en prison. C’est ce qu’on appelle les peines alternatives, des aménagements de peines. C’est-à-dire que ce sont des solutions pour éviter justement l’incarcération ».
Pour Saliou Ndiaye, président du Tribunal de Grande instance de Fatick, « c’est l’occasion pour que tout le monde soit au même niveau d’information. Ce sera l’occasion de susciter la réflexion de part et d’autre, voir quels sont les obstacles parce qu’aujourd’hui, on se rend compte qu’il y a une surpopulation au niveau des Maisons d’Arrêt et de Correction (MAC) ».
La rencontre de Kaolack était souhaitée pour parvenir à mettre en place des dispositifs afin de veiller à l’application de peines alternatives. Il est attendu des deux (2) jours d’échanges avec les magistrats, des recommandations qui vont aider à faire de la peine d’emprisonnement une sanction utile pour le condamné dans le perspective de sa réinsertion tout en lui garantissant des conditions de détention dignes, relaie le correspondant de Radio Sénégal.
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