La coalition "Publier ce que vous payez" salue l'initiative du chef de l'Etat, "le président de République, Macky Sall, qui a mis sur pied le COS/PETROGAZ qui permettra à notre pays d’avoir une vue partagée des évolutions, des défis à relever et des progrès accomplis au fur et à mesure de l’exploitation pétrolière et gazière.
Néanmoins ces acteurs de la société civile qui s'activent dans le secteur extractif, se sentent exclus au niveau de ces conseils du COS/PETROGAZ mis en place».
Se considérant comme des acteurs de premières heures car étant la voix des communautés affectées, l’association « publier ce que vous payez » a souhaité aussi la mise en place d’ : «un comité national, qui regroupera l’ensemble des acteurs, les universitaires, l’Itie, le gouvernement du Sénégal, la société civile, pour qu’on se retrouve dans un grand cadre afin d’aider le gouvernement dans la gestion de ses ressources».
Pour la société civile, c’est bien d’avoir un bon rapport mais il faudrait qu’il soit accessible à l’ensemble des sénégalais. Aussi, «l’ensemble des ressources qui ont été répertoriées et qui, aujourd’hui, sont certainement dans les caisses de l’Etat, doivent pouvoir bénéficier à tous les sénégalais en améliorant les conditions d’apprentissages, la santé, l’hydraulique etc...», a-t-il ajouté.
«Jusque là c’est une affaire d’élite», fulmine Ibrahima S. Diallo qui soutient que : «c’est parce qu’on reste dans les salles, on parle de chiffres. Il faudrait qu’on trouve des mécanismes pour que ces informations soient accessibles à l’ensemble des sénégalais de quelque niveau et de quelques endroits où ils se trouvent», a-t-il lancé.
Toutefois, ils tiennent a salué les mesures prises par l'Etat. De l'avis du président de l’association «publier ce que vous payer», Ibrahima Sory Diallo, "Ce rapport de 2014 a des progrès par rapport à celui de 2013.
«L’une de nos recommandations fortes, c’est de désigner des administrations et des points focaux au sein de ses administrations qui pourront à tout moment travailler sur les informations requises». Cette déclaration est faite par le représentant de la société civile, Ibrahima Sory Diallo en marge de l’atelier de dissémination du deuxième rapport de l’Itie.
A l'en croire, aujourd’hui, le Sénégal est très fortement engagé dans la recherche de l’information liée à nos ressources minérales. Et, "je pense que le premier ministre a entendu le défit lancé par la Banque Mondiale c’est-à-dire de fournir des informations précises et fiables temps réel".
Et poursuit-t-il, "il faut que dans chaque ministère on désigne un fonctionnaire qui sera chargé de la collecte de l’information pour que cela soit traité et fourni à temps réel pour satisfaire le besoin des sénégalais mais aussi des partenaires économique de développement».
Néanmoins ces acteurs de la société civile qui s'activent dans le secteur extractif, se sentent exclus au niveau de ces conseils du COS/PETROGAZ mis en place».
Se considérant comme des acteurs de premières heures car étant la voix des communautés affectées, l’association « publier ce que vous payez » a souhaité aussi la mise en place d’ : «un comité national, qui regroupera l’ensemble des acteurs, les universitaires, l’Itie, le gouvernement du Sénégal, la société civile, pour qu’on se retrouve dans un grand cadre afin d’aider le gouvernement dans la gestion de ses ressources».
Pour la société civile, c’est bien d’avoir un bon rapport mais il faudrait qu’il soit accessible à l’ensemble des sénégalais. Aussi, «l’ensemble des ressources qui ont été répertoriées et qui, aujourd’hui, sont certainement dans les caisses de l’Etat, doivent pouvoir bénéficier à tous les sénégalais en améliorant les conditions d’apprentissages, la santé, l’hydraulique etc...», a-t-il ajouté.
«Jusque là c’est une affaire d’élite», fulmine Ibrahima S. Diallo qui soutient que : «c’est parce qu’on reste dans les salles, on parle de chiffres. Il faudrait qu’on trouve des mécanismes pour que ces informations soient accessibles à l’ensemble des sénégalais de quelque niveau et de quelques endroits où ils se trouvent», a-t-il lancé.
Toutefois, ils tiennent a salué les mesures prises par l'Etat. De l'avis du président de l’association «publier ce que vous payer», Ibrahima Sory Diallo, "Ce rapport de 2014 a des progrès par rapport à celui de 2013.
«L’une de nos recommandations fortes, c’est de désigner des administrations et des points focaux au sein de ses administrations qui pourront à tout moment travailler sur les informations requises». Cette déclaration est faite par le représentant de la société civile, Ibrahima Sory Diallo en marge de l’atelier de dissémination du deuxième rapport de l’Itie.
A l'en croire, aujourd’hui, le Sénégal est très fortement engagé dans la recherche de l’information liée à nos ressources minérales. Et, "je pense que le premier ministre a entendu le défit lancé par la Banque Mondiale c’est-à-dire de fournir des informations précises et fiables temps réel".
Et poursuit-t-il, "il faut que dans chaque ministère on désigne un fonctionnaire qui sera chargé de la collecte de l’information pour que cela soit traité et fourni à temps réel pour satisfaire le besoin des sénégalais mais aussi des partenaires économique de développement».
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