Le Mouvement Panafricain et Citoyen Luy Jot Jotna (MPCL), dirigé par Cheikh Tidiane Gadio, annonce sa participation active au Dialogue politique national prévu le 28 mai 2025, à l’issue d’un Bureau politique extraordinaire élargi aux cadres du parti.
Dans une déclaration, le MPCL affirme que « le Sénégal n’a jamais eu autant besoin que ses filles et fils se parlent », soulignant « les défis, les divisions et les divergences profondes ».
Le mouvement note que les positions pour ou contre ce dialogue sont « nombreuses et parfois compréhensibles », compte tenu du climat politique actuel. Mais il insiste sur l’urgence de se retrouver autour de la table : « Terre de dialogue, de tolérance et d’harmonie, notre pays sait où le refus du dialogue a mené bien des nations africaines ».
Selon le MPCL, la crise sénégalaise est « multiforme : politique, institutionnelle, économique et sociale ». Face à cela, il appelle l’ensemble des acteurs, majorité, opposition, société civile, indépendants à se mobiliser « au chevet de notre pays », pour « élucider les malentendus, faire barrage aux dérives, chasser le toxique des divergences et bâtir de nouveaux consensus ».
Le parti de Cheikh Tidiane Gadio réaffirme sa vision d’un Sénégal leader, « boussole en Afrique », porteur d’un panafricanisme fédéraliste, d’une démocratie pluraliste et d’un État de droit effectif, garant des libertés fondamentales : liberté d’opinion, liberté de la presse, égalité des sexes et protection de la jeunesse.
« Notre démocratie est redevable à sa presse », rappelle le MPCL, tout en saluant la jeunesse sénégalaise, qu’il qualifie de « ressource nationale n°1 », non pas comme « l’avenir de l’Afrique mais son présent et sa locomotive ».
Enfin, le parti invite toutes les forces vives de la nation à répondre à l’appel :
« Allons donc au Dialogue ! »
Dans une déclaration, le MPCL affirme que « le Sénégal n’a jamais eu autant besoin que ses filles et fils se parlent », soulignant « les défis, les divisions et les divergences profondes ».
Le mouvement note que les positions pour ou contre ce dialogue sont « nombreuses et parfois compréhensibles », compte tenu du climat politique actuel. Mais il insiste sur l’urgence de se retrouver autour de la table : « Terre de dialogue, de tolérance et d’harmonie, notre pays sait où le refus du dialogue a mené bien des nations africaines ».
Selon le MPCL, la crise sénégalaise est « multiforme : politique, institutionnelle, économique et sociale ». Face à cela, il appelle l’ensemble des acteurs, majorité, opposition, société civile, indépendants à se mobiliser « au chevet de notre pays », pour « élucider les malentendus, faire barrage aux dérives, chasser le toxique des divergences et bâtir de nouveaux consensus ».
Le parti de Cheikh Tidiane Gadio réaffirme sa vision d’un Sénégal leader, « boussole en Afrique », porteur d’un panafricanisme fédéraliste, d’une démocratie pluraliste et d’un État de droit effectif, garant des libertés fondamentales : liberté d’opinion, liberté de la presse, égalité des sexes et protection de la jeunesse.
« Notre démocratie est redevable à sa presse », rappelle le MPCL, tout en saluant la jeunesse sénégalaise, qu’il qualifie de « ressource nationale n°1 », non pas comme « l’avenir de l’Afrique mais son présent et sa locomotive ».
Enfin, le parti invite toutes les forces vives de la nation à répondre à l’appel :
« Allons donc au Dialogue ! »
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