Le problème entre les enseignants et le gouvernement ne va se résoudre tant que ces derniers poursuivent leurs grèves. C’est ce qu’a laissé entendre le conseil technique en éducation et formation du président de la République qui faisait face à la presse pour demander aux syndicalistes de privilégier les négociations plutôt que la confrontation.
«Ce n’est pas en multipliant les marches et les grèves que les problèmes vont se régler, il faut privilégier le dialogue au lieu de s’inscrire dans une logique de confrontation. Ceux qui pensent que le président de la République va tout accepter, parce que disent-ils, il veut être réélu se trompent lourdement », a déclaré Diamé Diouf. Avant d’ajouter que : «le président de la République ne pourrait recevoir des gens qui sont en grève».
«Nous avons l’impression qu’il n’y a plus d’écoute du côté des enseignants. A la place du dialogue et de la discussion, ils optent pour les confrontations, le discours jusqu’au boutiste a pris le pas sur l’ouverture et les discernements. L’exigence a pris le dessus sur la responsabilité », a déploré Diamé Diouf.
Une occasion ce conseiller du Chef de l’Etat d’appeler les élèves et les parents à être lucide dans cette situation.
«J’attire l’attention des élèves qui sont enrôlés par les enseignants dans leur marche, comme c’était le cas à Kaolack, que «ce combat n’est pas le leur». De même, a-t-il conclu, « j’interpelle les parents d’élèves à ce qu’ils redoublent davantage de vigilance afin d’éviter à leurs enfants de s’engager dans des entreprises dont ils ne maîtrisent pas les contours».
«Ce n’est pas en multipliant les marches et les grèves que les problèmes vont se régler, il faut privilégier le dialogue au lieu de s’inscrire dans une logique de confrontation. Ceux qui pensent que le président de la République va tout accepter, parce que disent-ils, il veut être réélu se trompent lourdement », a déclaré Diamé Diouf. Avant d’ajouter que : «le président de la République ne pourrait recevoir des gens qui sont en grève».
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