![Disparition du véhicule présidentiel : Le chauffeur de Wade aurait donné lui-même la voiture au chauffeur de Macky Sall Disparition du véhicule présidentiel : Le chauffeur de Wade aurait donné lui-même la voiture au chauffeur de Macky Sall](https://www.pressafrik.com/photo/art/default/4098317-6219569.jpg?v=1334581169)
Macky Sall s’est rabattu sur la voiture de l’ancien président Abdou Diouf, à défaut de celle léguée par son prédécesseur Me Abdoulaye Wade, avait-on indiqué du côté de la Présidence, faisant état de vol de 600 véhicules. Cependant, les tenants du défunt régime, indexés sur cette affaire, semblent concevoir cette histoire comme non fondée. « Je crois qu’ils vont donner la liste des soi-disant véhicules volés. On parle de 600 véhicules, mais comment on peut prendre autant de véhicules à la Présidence sans que ça soit visible », s’est interrogé Oumar Sarr, dont la nomination comme coordonnateur du PDS a suscité le tollé.
A cet effet, pour ce qui est de la disparition du véhicule présidentiel, « j’ai entendu à la radio le chauffeur du président Wade apporter les démentis nécessaires. D’ailleurs, il a expliqué que c’est lui-même qui a donné la voiture au chauffeur du nouveau président Macky Sall et il dit l’avoir expliqué comment la mettre en marche », a informé le maire de Dagana, dans une interview accordée à nos confrères de « L’observateur ». Rappelant que « quand un objet est offert au président c’est personnel, ce n’est pas un objet qui appartient à l’Etat », Oumar Sarr affirme que « la situation est simple » et qu’ « il suffit tout simplement de faire un rapprochement pour avoir la situation ».
A cet effet, pour ce qui est de la disparition du véhicule présidentiel, « j’ai entendu à la radio le chauffeur du président Wade apporter les démentis nécessaires. D’ailleurs, il a expliqué que c’est lui-même qui a donné la voiture au chauffeur du nouveau président Macky Sall et il dit l’avoir expliqué comment la mettre en marche », a informé le maire de Dagana, dans une interview accordée à nos confrères de « L’observateur ». Rappelant que « quand un objet est offert au président c’est personnel, ce n’est pas un objet qui appartient à l’Etat », Oumar Sarr affirme que « la situation est simple » et qu’ « il suffit tout simplement de faire un rapprochement pour avoir la situation ».
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