Le Sénégal célèbre, ce 17 octobre, la Journée mondiale du don d’organes et de la greffe, une occasion de promouvoir le don d’organes, de sensibiliser le public et d’encourager les discussions familiales autour de cette pratique vitale. Le pays dispose d’un cadre réglementaire à travers le Conseil national du Don et de la Transplantation (CNDT), chargé d’organiser les greffes, notamment rénales et de cornée.
À l’occasion de cette journée, le directeur du CNDT, Professeur Farika, a tiré la sonnette d’alarme sur les difficultés financières auxquelles le programme est confronté.
« Depuis 2024, on n’a pas fait de transplantation et le principal problème, c’est le problème de financement. Parce que la transplantation nécessite un financement et la plupart des demandeurs sont indigents, ils ne peuvent pas se prendre en charge » a-t-il déploré.
Selon lui, ce programme a battu de l’aile après les quatre premières transplantations, mais il espère avant la fin de 2025, le « CNDT fera d’autres transplantations ».
À l’en croire, ce programme est tellement sollicité par les populations, mais toujours un problème de moyen se pose. « Chaque jour, on reçoit des coups de fils, les gens viennent nous voir, ils demandent, mais malheureusement, on ne peut pas faire plus parce qu’il faut trouver un mécanisme de financement qui pérenne », a expliqué le Professeur Farika.
Il a également rappelé que la transplantation reste moins coûteuse que la dialyse. « Si vous prenez un transplanté et un dialysé, le dialysé te coûtera moins de 100 millions en 10 ans là où le dialysé te coûtera moins de 50 millions », a-t-il détaillé.
Malgré ces obstacles, le directeur du CNDT se veut rassurant : « Les autorités sont entrain de trouver la solution », a-t-il conclu.
À l’occasion de cette journée, le directeur du CNDT, Professeur Farika, a tiré la sonnette d’alarme sur les difficultés financières auxquelles le programme est confronté.
« Depuis 2024, on n’a pas fait de transplantation et le principal problème, c’est le problème de financement. Parce que la transplantation nécessite un financement et la plupart des demandeurs sont indigents, ils ne peuvent pas se prendre en charge » a-t-il déploré.
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