Après l’oncle maternel, la tante des enfants décédés dans l’incendie survenu ce mercredi aux Parcelles Assainies parle et disculpe la maman éplorée qui se trouve être sa petite sœur.
«Contrairement à ce qui a été avancé, Ndoumbé Dièye ne s’est pas absentée pendant deux (2) mois. Vu son amour viscéral pour ses enfants, elle était incapable de s’absenter pendant un long moment», soutient-elle. Dans les colonnes de «l’Observateur», elle révèle la mère des victimes ne cesse de répéter à haute et intelligible voix, qu’il valait mieux qu’elle meure, et que ses enfants survivent.
«Au cours d’une discussion que j’ai eu avec elle après le drame, elle m’a fait savoir qu’Astou, sa fille aînée, l’a appelée via l’application WhatsApp pour lui dire: «Maman quoi qu’il advienne, il faudra être forte. Tu as fait tout ce que tu devais faire pour nous, je t’aime fort, car tu es une maman modèle», dit-elle.
Avant de nier avoir reçu des appels venant de l’une des victimes, sans y répondre. «L’on a semblé insinuer que j’ai reçu 17 appels de l’une des victimes auxquels je n’ai pas répondu. Je m’inscris en faux contre de telles allégations. Les appels provenaient de Moussa Diaz, la personne qui a assisté à la scène et non de l’une des victimes. Et si il n’a pu entrer en contact avec moi, c’est parce que j’avais mis mon portable sous silencieux. Ce qui n’est pas de mes habitudes», se fâche la tante qui demande aux «(d’arrêter de dire du n’importe quoi sur ce qu’ils ne maîtrisent pas» car la famille a suffisamment «souffert» et «il ne faudrait pas qu’on en rajoute».
«Contrairement à ce qui a été avancé, Ndoumbé Dièye ne s’est pas absentée pendant deux (2) mois. Vu son amour viscéral pour ses enfants, elle était incapable de s’absenter pendant un long moment», soutient-elle. Dans les colonnes de «l’Observateur», elle révèle la mère des victimes ne cesse de répéter à haute et intelligible voix, qu’il valait mieux qu’elle meure, et que ses enfants survivent.
«Au cours d’une discussion que j’ai eu avec elle après le drame, elle m’a fait savoir qu’Astou, sa fille aînée, l’a appelée via l’application WhatsApp pour lui dire: «Maman quoi qu’il advienne, il faudra être forte. Tu as fait tout ce que tu devais faire pour nous, je t’aime fort, car tu es une maman modèle», dit-elle.
Avant de nier avoir reçu des appels venant de l’une des victimes, sans y répondre. «L’on a semblé insinuer que j’ai reçu 17 appels de l’une des victimes auxquels je n’ai pas répondu. Je m’inscris en faux contre de telles allégations. Les appels provenaient de Moussa Diaz, la personne qui a assisté à la scène et non de l’une des victimes. Et si il n’a pu entrer en contact avec moi, c’est parce que j’avais mis mon portable sous silencieux. Ce qui n’est pas de mes habitudes», se fâche la tante qui demande aux «(d’arrêter de dire du n’importe quoi sur ce qu’ils ne maîtrisent pas» car la famille a suffisamment «souffert» et «il ne faudrait pas qu’on en rajoute».
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