Fidèle à son sens de consensus et de l’appel au dialogue, le chef de l’Etat, ajoute « c’est pourquoi, je me dois d’en appeler à la sérénité et au sens des responsabilités de chacune et de chacun, pour le respect des règles démocratiques et l’application scrupuleuse des bonnes pratiques électorales, ce qui, évidemment, exclut tout recours à la violence sous quelque forme que ce soit.
L’intérêt du pays doit être placé au dessus des contingences idéologiques et politiciennes, et comme par le passé, la sérénité doit prévaloir, pour que les élections se déroulent dans le calme. »
Dans la même lancée, le président explique devant la délégation de la CENA que « la démocratie est l’un de nos plus grands acquis et nous devons à tout prix la préserver. Elle a ses exigences, la démocratie. Le dialogue est une de ses composantes essentielles. Celui-ci implique des différences et parfois des divergences d’opinions. Mais nous ne devons avoir pour seul objectif et pour unique motivation que l’intérêt général et le bien-être de nos populations.
Nous devons toujours privilégier le dialogue et le consensus, dans le respect du choix des sénégalais, tel qu’il s’exprime à travers les urnes. C’est le seul moyen d’éviter à notre cher Sénégal des tragiques soubresauts qui affectent le destin nombre de pays sur notre continent. Ainsi seulement, pourrons-nous continuer à faire du Sénégal le havre de paix qu’il a toujours été. »
Pour le développement du pays, Macky Sall lance un appelle. « Au sortir de ces élections, nous devrons nous remettre immédiatement au travail, pour répondre aux attentes exprimées par les populations. Nous devons arrêter les débats stériles et les campagnes électorales permanentes, pour nous tourner résolument vers la prise en compte des préoccupations des populations. Tant il est vrai que le travaille s’accommode mal de la palabre incessante.
Les pays amis, les organismes financiers et les bailleurs de fonds nous ont offert de nous accompagner, dans le cadre d’un partenariat efficace et porteur de croissance dans des domaines socio-économiques bien identifiés. »
Et l’accélération du rythme gouvernemental revient dans le discours, « en ce qui me concerne, j’ai engagé le gouvernement, sous l’autorité de Madame le Premier Ministre, à accélérer le rythme d’exécution de nos politiques et de nos projets. Un programme d’exécution des tâches avec un échéancier précis sera élaboré pour chaque département ministériel, avec comme seul crédo : la production de résultats concrets. A cet égard, aucune lenteur ne sera tolérée. »
Le chef de l’Etat a présenté ses compliments à la CENA en soutenant que depuis sa création, elle a su jouer un rôle fondamental dans le renforcement de notre démocratie. Il promet d’examiner avec la plus grande attention les recommandations consignées dans le Rapport de la CENA.
L’intérêt du pays doit être placé au dessus des contingences idéologiques et politiciennes, et comme par le passé, la sérénité doit prévaloir, pour que les élections se déroulent dans le calme. »
Dans la même lancée, le président explique devant la délégation de la CENA que « la démocratie est l’un de nos plus grands acquis et nous devons à tout prix la préserver. Elle a ses exigences, la démocratie. Le dialogue est une de ses composantes essentielles. Celui-ci implique des différences et parfois des divergences d’opinions. Mais nous ne devons avoir pour seul objectif et pour unique motivation que l’intérêt général et le bien-être de nos populations.
Nous devons toujours privilégier le dialogue et le consensus, dans le respect du choix des sénégalais, tel qu’il s’exprime à travers les urnes. C’est le seul moyen d’éviter à notre cher Sénégal des tragiques soubresauts qui affectent le destin nombre de pays sur notre continent. Ainsi seulement, pourrons-nous continuer à faire du Sénégal le havre de paix qu’il a toujours été. »
Pour le développement du pays, Macky Sall lance un appelle. « Au sortir de ces élections, nous devrons nous remettre immédiatement au travail, pour répondre aux attentes exprimées par les populations. Nous devons arrêter les débats stériles et les campagnes électorales permanentes, pour nous tourner résolument vers la prise en compte des préoccupations des populations. Tant il est vrai que le travaille s’accommode mal de la palabre incessante.
Les pays amis, les organismes financiers et les bailleurs de fonds nous ont offert de nous accompagner, dans le cadre d’un partenariat efficace et porteur de croissance dans des domaines socio-économiques bien identifiés. »
Et l’accélération du rythme gouvernemental revient dans le discours, « en ce qui me concerne, j’ai engagé le gouvernement, sous l’autorité de Madame le Premier Ministre, à accélérer le rythme d’exécution de nos politiques et de nos projets. Un programme d’exécution des tâches avec un échéancier précis sera élaboré pour chaque département ministériel, avec comme seul crédo : la production de résultats concrets. A cet égard, aucune lenteur ne sera tolérée. »
Le chef de l’Etat a présenté ses compliments à la CENA en soutenant que depuis sa création, elle a su jouer un rôle fondamental dans le renforcement de notre démocratie. Il promet d’examiner avec la plus grande attention les recommandations consignées dans le Rapport de la CENA.
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