
En présentant hier, 17 octobre 2010, les cinquante pages de ce qu’il estime être des pistes de compromis, le nationaliste flamand Bart de Wever donnait vingt-quatre heures à ses partenaires de négociations pour émettre une opinion. Aucun des partis francophones n’a mis ce délai à profit, ils ont tous dit non.
Ils ont fait savoir que pour eux les droits des francophones vivant dans la périphérie flamande de Bruxelles seraient bafoués par un accord sur ces propositions. De même, les propositions de laisser les régions percevoir et gérer directement 45% de l’impôt sur le revenu seraient trop défavorables à la Wallonie et à la capitale.
Cette réaction a été durement critiquée du côté flamand ce lundi matin où les plus modérés ont accusé les francophones de fermer toutes les portes, surtout du côté de la N-VA, la Nouvelle alliance flamande de Bart de Wever. Ce « non » francophone unanime est reçu comme une fin de non-recevoir définitive pour une éventuelle coalition gouvernementale.
Bart de Wever doit remettre son rapport au roi Albert II en fin d’après-midi. Il a déjà fait savoir que pour lui, tout est maintenant fini. La seule perspective semble être désormais la tenue de nouvelles élections anticipées comme en juin et, selon les sondages, les nationalistes flamands en sortiraient encore renforcés.
Ils ont fait savoir que pour eux les droits des francophones vivant dans la périphérie flamande de Bruxelles seraient bafoués par un accord sur ces propositions. De même, les propositions de laisser les régions percevoir et gérer directement 45% de l’impôt sur le revenu seraient trop défavorables à la Wallonie et à la capitale.
Cette réaction a été durement critiquée du côté flamand ce lundi matin où les plus modérés ont accusé les francophones de fermer toutes les portes, surtout du côté de la N-VA, la Nouvelle alliance flamande de Bart de Wever. Ce « non » francophone unanime est reçu comme une fin de non-recevoir définitive pour une éventuelle coalition gouvernementale.
Bart de Wever doit remettre son rapport au roi Albert II en fin d’après-midi. Il a déjà fait savoir que pour lui, tout est maintenant fini. La seule perspective semble être désormais la tenue de nouvelles élections anticipées comme en juin et, selon les sondages, les nationalistes flamands en sortiraient encore renforcés.
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