
Deux groupes armés se sont donné rendez-vous dans un bâtiment abandonné au milieu de la forêt. Au bout de quelques instants, des forces armées apparaissent et pénètrent discrètement dans ce bâtiment. Leur objectif : capturer des cibles considérées comme étant de « haute valeur », sans les tuer. Le tout, dans un environnement hostile. Major Nick, supervise cet entraînement.
« Lorsque vous entrez pour la première fois dans une maison, vous ignorez comment elle est disposée à l’intérieur. Et les choses changent en permanence, parce que les individus bougent. Il y a beaucoup d’obstacles : des tables, des chaises, des lits… ce sont aussi de potentielles cachettes. »
Pendant deux semaines, les militaires se sont notamment entrainés à collecter et à analyser des informations. Cet exercice est organisé de manière régulière depuis 2005. Pour le chef d’état-major des armées de Côte d’Ivoire, le général Lassina Doumbia, cela permet de s’adapter à la menace des groupes armés terroristes.
« Ça nous permet d'anticiper sur la mutation de la menace. Les groupes armés terroristes évoluent dans leurs méthodes, il nous faut donc avoir en permanence des capacités mises à jour. Et pour le faire, c'est le partage d'expérience, de savoir-faire avec d'autres unités, qui permettent à nos unités spécialisées d'être à jour. »
Au-delà des techniques pour lutter contre les menaces, l’enjeu est aussi de « protéger les civils », souligne Jessica Davis Ba, l’ambassadrice des États-Unis en Côte d’Ivoire, à l’issue de cette formation.
« Lorsque vous entrez pour la première fois dans une maison, vous ignorez comment elle est disposée à l’intérieur. Et les choses changent en permanence, parce que les individus bougent. Il y a beaucoup d’obstacles : des tables, des chaises, des lits… ce sont aussi de potentielles cachettes. »
Pendant deux semaines, les militaires se sont notamment entrainés à collecter et à analyser des informations. Cet exercice est organisé de manière régulière depuis 2005. Pour le chef d’état-major des armées de Côte d’Ivoire, le général Lassina Doumbia, cela permet de s’adapter à la menace des groupes armés terroristes.
« Ça nous permet d'anticiper sur la mutation de la menace. Les groupes armés terroristes évoluent dans leurs méthodes, il nous faut donc avoir en permanence des capacités mises à jour. Et pour le faire, c'est le partage d'expérience, de savoir-faire avec d'autres unités, qui permettent à nos unités spécialisées d'être à jour. »
Au-delà des techniques pour lutter contre les menaces, l’enjeu est aussi de « protéger les civils », souligne Jessica Davis Ba, l’ambassadrice des États-Unis en Côte d’Ivoire, à l’issue de cette formation.
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