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En RDC, l'opposition n'a pas tardé à réagir à l'annonce du nouveau gouvernement

Le nouveau gouvernement de la RDC a été enfin annoncé samedi 28 avril 2012, cinq mois après les présidentielles et législatives de novembre 2011. C’est une équipe resserrée de 36 ministres, contre plus de quarante précédemment. «C’est une nouvelle équipe qui a un regard neuf» affirme le porte-parole du gouvernement, qui lui n’a pas changé puisqu’il s’agit toujours du ministre de l’Information, Lambert Mende. Dans l’opposition, les critiques commencent à se faire entendre.



Des supporters du président sortant Joseph Kabila fêtent la victoire de leur candidat dont la réélection vient d'être annoncée, le 9 décembre 2011. AFP/GWENN DUBOURTHOUMIEU
Des supporters du président sortant Joseph Kabila fêtent la victoire de leur candidat dont la réélection vient d'être annoncée, le 9 décembre 2011. AFP/GWENN DUBOURTHOUMIEU
Dans l’opposition parlementaire, certains préfèrent voir le programme avant de juger. «Nous les attendons de pied ferme, dit le député Clément Kanku. On a un paquet de questions à poser au Premier ministre.»

Le ministère du Plan, auquel l’on ajouté l’appellation «ministère de la Mise en œuvre de la révolution de la modernité» soulève quelques railleries sur les bans de l’opposition. «C’est un slogan, un gadget, une fantaisie pour distraire les gens» dit son collègue Martin Fayulu. Selon lui, «ce gouvernement est composé de gens dociles qui permettront à Kabila de continuer à faire ce qu’il veut ».

Dans l’opposition extra-parlementaire, c'est-à-dire le camp d’Etienne Tshisekedi (UDPS), qui ne reconnaît pas ce Parlement, ni la victoire de Kabila, on se montre encore plus radical. Eugène Diomi Dongala, l’un des principaux soutiens du vieux leader, estime que «c’est une équipe de sous-fifres » qui n’a aucune légitimité… Et il annonce encore une fois que son camp va à son tour présenter aussi un nouveau gouvernement.

Audio: Jacquemin Shabani : «C'est un non événement», Secrétaire général de l'UDPS: "... comme monsieur Kabila a repris les mêmes prédateurs et torpilleurs du Congo, cela ne va rien changer pour nous. C'est de la poudre aux yeux ! Ce sont les mêmes : son fameux Premier ministre, c'est l'ancien ministre des Finances qui a amené la République démocratique du Congo sur la liste des derniers pays en ce qui concerne l'indice de développement... nous sommes dans une mobilisation du peuple congolais pour la vérité et la justice du scrutin du 28 novembre".
Source: RFI


Lundi 30 Avril 2012 - 10:51


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1.Posté par Cliff Yumba Mpiana WANE le 05/05/2012 11:26
Le nouveau Gouvernement ainsi nommé devrait etre composé uniquement des techniciens afin de créer la classe moyenne tant attendue; tels seront les critères idéaux du gouvernement que nous attendions. voir des amples commentaires dans cet article qui parle de l'avenèment de la classe moyenne;
La Méthode BOOM : L’avènement de la classe moyenne en Afrique
Etudes empiriques (approche du Management politique) finalisées par Cliff Yumba Mpiana Wane, Senior Business Advisor et Motivational Speaker chez Cwconsulting
La politique sociale est le moteur de toute économie qui se veut viable et stable. C’est pourquoi la plupart des pays dits émergents et développés affectent un budget conséquent à la politique en cadence.
En effet, l’Afrique n’a pas pu gérer cette politique, étant données les divergences d’opinions et d’intérêts. Néanmoins, il ya possibilité de créer la classe moyenne, à travers l’insertion de la méthode BOOM dans la gestion de la RES PUBLICA.
Eu égard à ce qui précède, les experts Sud Africains ont jugé indispensable l’insertion de l’approche BEE « Black economic empowerment » dans l’agenda Gouvernemental. Cette dernière a soulagé la misère de certains, car cette grande économie Africaine a vécu la création spectaculaire des millionnaires noirs ; autrefois politique utopique et presqu’impossible.
La RDC, quant à elle, a facilité la création des coopératives minières en vue de rendre effectif l’avènement d’une classe moyenne à l’Africaine. S’agissant des autres pays du même continent ; il est signalé une explosion des coopératives multisectorielles en vue d’alléger la pauvreté Africaine, à grande échelle.
A la lumière de toute la théorie en dissection ; les véritables objectifs assignés aux programmes respectifs n’ont pas touché totalement les cibles visées. En revanche, le déséquilibre économico social s’intensifie ; malgré la présence de toutes ces tentatives de grande envergure.
A l’opposé, la stratégie BOOM, comme l’indique la définition pratique du concept, permet à une entité de s’épanouir ; quel que soit le degré d’anomalies. Créer une classe moyenne devient expéditive avec BOOM ; car les méthodes EEE et TTT y sont partie intégrante.
BOOM : Business, opportunité, Occasion, Multiplier
o Business « Apprendre comment créer la stabilité à la place de l’instruction conventionnelle devient l’élément susceptible d’asphyxier le sous emploi »
L’Afrique a hérité tout de la colonisation, y compris l’instruction. Curieusement, le chômage devient de plus en plus croissant ; parce que la qualité de l’enseignement est à désirer. Comment propulser le social, à travers la création d’emplois ; lorsque l’étudiant apprend uniquement comment intéresser le recruteur, à la place de « comment créer l’emploi, partant de sa formation professionnelle » ? Quel leadership entretient l’Afrique ou encore y a-t-il un leadership efficient dans la société africaine ? A mon humble avis d’analyste ; je ne peux donner que ma langue au chat.
Eu égard à ce qui précède, aucune classe moyenne ne verra le jour, si l’Afrique se focalise sur des principes inaccessibles, tel que …
Parler du boom économique ou de la période d’euphorie est plausible ; mais intégrer toutes les couches disséminées dans le bateau d’excellence serait la meilleure voie.
Les artisans du chômage croissant sont déjà identifiés en Afrique ; l’heure de corriger les anomalies est arrivée, en revanche. Ceci veut dire que les produits finis des universités peuvent valablement générer des emplois à leur guise ; si et seulement si ils ont reçu des stratégies y relatives ou cours spécifiques. Par conséquent, le B de la méthode BOOM encourage les autorités de tutelle d’intégrer un cours des techniques de création d’emploi à la fin du premier cycle universitaire. Voila ce qui pourrait alléger les effets du sous emploi africain.
o Opportunité « Faciliter les produits finis de générer des emplois à leur guise »
La création de la classe n’est pas opération expéditive, car le bonheur des uns fait naturellement le malheur des autres. Il en est de même de la création d’une zone d’opportunités au bénéfice du public.
Dans la méthode VIA, il a été signalé que seul le visionnaire peut donner du tonus dans une entité ; alors au détriment de ses visées égocentriques. Quel suprême sacrifice!
Personne n’est distrait, mais les officiels influents n’arrivent plus à définir avec efficience la politique générale de l’appareil de l’Etat. En revanche, les entreprises créées par d

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