On ne s’ennuie plus dans ce pays alors si ringard et si constipé sous Léopold Sedar Senghor. Vous connaissez le premier Président de ce charmant pays ? L’homme qui a posé les bases d’une véritable République que les Libéraux ont complétement clochardisée avec des gens de peu de vertu. Sous Senghor, on parlait un français émérite de France, s’habillait chic comme les Toubab et avait de la tenue et de la retenue.
Gare aux journalistes du service public qui osaient maltraiter la langue de Molière que Baay Seng maitrisait mieux que les Français de souche. Une véritable République, on vous dit avec des gens élégants et raffiné. Ça ne criait pas, ça ne baillait pas en public, ça ne crachait pas n’importe où et ça ne gesticulait pas non plus. Les hommes de loi étaient craints, honnis et respectés à la fois.
Les députés n’étaient pas de vulgaires trafiquants de passeports diplomatiques et ne s’empêtraient pas dans des affaires louches de faux monnayage. Même si de Senghor, le savant Cheikh Anta Diop disait qu’il se contentait de se parer de certaines idées pour briller d’un éclat stérile. Quelle élégance verbale ! La preuve que tout a foutu le camp aujourd’hui ? La polissonne et canaille danse, devenue virale sur nos très cannibales réseaux sociaux, de la Première Dame, l’authentique sénégalaise.
Une chorégraphie qui s’est achevée par un vigoureux et très viril coup de reins. Ça se dit« Tëyëx ! Le Chef ne doit assurément pas s’ennuyer et on comprend maintenant sa passion pour la lutte. Que dis-je, pour les chants gymniques de ces gladiateurs de nos arènes. Rien que pour ça, on peut commencer à savourer une fin d’année qui se termine avec notre savoureux Ceebu Jén devenu Patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
Et preuve de notre entrée dans l’Histoire, ce TER qui a complètement ébloui un confrère. Il ne faut pas douter de son émerveillement puisque l’émotion est nègre. Senghor avait raison !
Par KACCOR, Le Témoin
Gare aux journalistes du service public qui osaient maltraiter la langue de Molière que Baay Seng maitrisait mieux que les Français de souche. Une véritable République, on vous dit avec des gens élégants et raffiné. Ça ne criait pas, ça ne baillait pas en public, ça ne crachait pas n’importe où et ça ne gesticulait pas non plus. Les hommes de loi étaient craints, honnis et respectés à la fois.
Les députés n’étaient pas de vulgaires trafiquants de passeports diplomatiques et ne s’empêtraient pas dans des affaires louches de faux monnayage. Même si de Senghor, le savant Cheikh Anta Diop disait qu’il se contentait de se parer de certaines idées pour briller d’un éclat stérile. Quelle élégance verbale ! La preuve que tout a foutu le camp aujourd’hui ? La polissonne et canaille danse, devenue virale sur nos très cannibales réseaux sociaux, de la Première Dame, l’authentique sénégalaise.
Une chorégraphie qui s’est achevée par un vigoureux et très viril coup de reins. Ça se dit« Tëyëx ! Le Chef ne doit assurément pas s’ennuyer et on comprend maintenant sa passion pour la lutte. Que dis-je, pour les chants gymniques de ces gladiateurs de nos arènes. Rien que pour ça, on peut commencer à savourer une fin d’année qui se termine avec notre savoureux Ceebu Jén devenu Patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
Et preuve de notre entrée dans l’Histoire, ce TER qui a complètement ébloui un confrère. Il ne faut pas douter de son émerveillement puisque l’émotion est nègre. Senghor avait raison !
Par KACCOR, Le Témoin
Autres articles
-
« Mame Mbaye Niang restera éternellement le voleur... », selon le Pastef
-
Dr Adama Sadio sur le verdict du procès : « la rue a sauvé Sonko.... »
-
Sénégal : le ministre de l'Intérieur justifie l'expulsion de Juan Branco
-
Mame Mbaye Niang et ses avocats face à la presse vendredi
-
Mame Mbaye Niang satisfait du verdict: "Je remercie la justice sénégalaise de m'avoir blanchi"