Promotion du développement économique et régional, renforcement de la bonne gouvernance ou encore services de base aux populations figurent parmi les thèmes débattus en ateliers. La parole est libre, les débats animés et si la décentralisation s'installe au Mali depuis plus d'une décennie, il faut apporter plus de pouvoirs et de ressources financières aux élus locaux pour éviter les écueils.
« Les exécutifs des collectivités ont parfois affiché un niveau élevé de corruption, a déclaré le président Ibrahim Boubacar Keïta à la cérémonie d'ouverture des Etats généraux de la décentralisation. Il nous faut apporter des réponses définitives aux frustrations qui alimentent l'irrédentisme de nos frères touaregs ».
Officiellement, pour le moment, les rebelles touaregs du MNLA sont invisibles à la rencontre, mais des élus maliens qui avaient à l'époque pris partis pour eux sont présents. C'est donc un peu comme si le MNLA acceptait la main tendue du gouvernement malien. Dans un communiqué, un de ses responsables affirme privilégier les négociations pour une solution durable à la crise.
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